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Marié, Catholique, membre engagé dans la Communauté de Chemin Neuf, Co-Président de l'Association Chrétienne Oecuménique de Normandie, délégué à l’œcuménisme et à la promotion de l'unité des chrétiens du diocèse de Rouen

Pâques 2016 à Hautecombe

Explosion de joie, pour la résurrection, on n’en attendait pas moins!

12998313_o Explosion du nombre de participants également. Pour la première fois, la mission jeunes a du clôturer les inscriptions plusieurs jours avant le début du weekend. L’abbaye d’Hautecombe a beau être accueillante, 650 personnes logées, nourries et rassemblées, sans chapiteau, c’est déjà un exploit!

Ce qui était initialement pour la communauté un temps fort de rencontre entre membres est devenu au fil des années un temps fort de rencontre pour les jeunes.

 

Pâques à Hautecombe est un joyeux mélange de jeunes des foyers d’étudiants de la communauté, de JCN (Jeunes du Chemin Neuf), d’étudiants qui nous connaissent moins ou peu, de jeunes qui ont été proches et reviennent vivre ce temps fort, de jeunes professionnels… Fidèles, invités par un ami ou nouveaux, tous disent venir chercher ici un lieu et un moment où prendre le temps de vivre pleinement Pâques et ce que cela signifie. Tous repartent en avouent être marqués par cette joie qui éclate, qui se dit, se partage, se chante, s’exprime et nous habite.

De l’avis de tous, Pâques à Hautecombe est ce moment singulier, dont on ne ressort pas « indemne ».

Une partie du groupe est arrivée pour vivre le Triduum Pascal, et a pris le temps de voir la Croix, de regarder ses faiblesses et ses péchés, de se laisser saisir par le Christ qui se donne pour nous. Le temps de réconciliation du samedi après-midi est un moment essentiel pour déposer aux pieds de Jésus, rencontrer, se confesser.

Cette année, ce temps a été « ouvert » par le témoignage de deux frères prêtres de la Communauté : Olivier Turbat et François Michon. Ils ont pu témoigner de la fraternité qu’ils ont vécue depuis leur appel et de leur chemin vers le sacerdoce. Ce fut aussi et surtout l’occasion de témoigner de la fragilité vécue pour s’attacher davantage au Christ.

 

Il est vraiment ressuscité ! Ils repartirent tous chez eux et eurent beaucoup de joie à partager cette bonne nouvelle qui habitait leur cœur !

© 2016 Communauté du Chemin Neuf: Photos, vidéo, textes

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Ubuntu : Je suis car j’appartiens

Ubuntu :
Je suis car j’appartiens

 

 

« Ubuntu » : un terme provenant du sud de l’Afrique, mais en réalité beaucoup plus qu’un mot : un monde ! Il nous fait remonter aux racines de l’humanisme, en soulignant la dimension relationnelle et communautaire de la personne, l’ouverture aux autres, la bonté, la générosité, l’amour gratuit.

imageJaquette2DDans ce film, nous mettons nos pas dans ceux de Nelson Mandela, qui a cherché à mettre en pratique l’Ubuntu dans sa propre vie, pour permettre la réconciliation entre Noirs et Blancs en Afrique du Sud après l’apartheid. Les deux intervenants principaux du film sont le Père Laurent Fabre, fondateur et responsable de la Communauté du Chemin Neuf, et Mgr Emmanuel Lafont, évêque catholique de Guyane (France), qui a longtemps vécu en Afrique du Sud et connu personnellement Nelson Mandela.

 

 

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le Grand KIFF

1500 jeunes à Saint-Malo

Du 24 au 28 juillet 2016 à Saint-Malo l’Eglise protestante unie de France accueille 1 500 jeunes pour un rassemblement national : le Grand KIFF

 

2016 04 le grand Kiff.Le parc de quatre hectares de Kériadenn accueillera un camp sous toile avec 1 200 jeunes de 15 à 20 ans et 300 jeunes de 18 à 30 ans. Pour le pasteur Marc Schaefer, responsable du réseau jeunesse de l’EPUdF, l’organisateur de du Grand KIFF, cet événement est l’occasion de transmettre un message d’espérance aux jeunes, croyants ou non, en partageant la parole du Christ : « Et vous qui dites-vous que je suis ? ». Cette parole Jésus l’adresse à ses disciples mais aussi à chacun pour exprimer sa foi, ses doutes et ses questions.

Après les rassemblements à Lyon (2009), Grenoble (2013), l’originalité de cette troisième édition est :

  • l’organisation d’un pré-camp de service : l’Alter’KIFF avec des jeunes de 18 -30 ans du 17 au 28 juillet pour soutenir et accompagner les plus jeunes.
  • La tournée dans toute la France de deux ambassadeurs par des animations régionales et locales de novembre 2015 à juin 2016. Edgard Paret et Lalaji Montoya vont à la rencontre des Eglises locales et des groupes de jeunes pour les sensibiliser à ce rassemblement et réfléchir sur la place et l’accompagnement des jeunes dans l’Eglise. Faire un lien
  • la formation proposée pour les accompagnateurs des jeunes présents au Grand KIFF. 300 adultes seront présents au Grand KIFF, qui pourront autour de trois après midi coordonnées par le pasteur Samuel Amédro pour échanger et se former ensemble.

Un grand chapiteau de spectacle accueillera la cérémonie d’ouverture, le 24 juillet 2016 et l’ensemble des cultes et des soirées. Durant ces cinq jours de fête sont programmés : Rencontres de 100 témoins, Nuit du cinéma, Remise de prix du concours vidéo thèses 2017, Atelier thématiques, web TV, partage biblique avec ZeBible, Flash mob géant, Nuit de la musique avec Heaven’s Door Live session et chaque soir des Afters seront des lieux d’échange.  Consulter le programme

Le rassemblement se clôturera par un culte ouvert à tous présidé par le pasteur Laurent Schlumberger, président du conseil national.

Le Grand KIFF est un événement en partenariat avec une dizaine d’associations de jeunesse et de médias protestants.

Source: http://regardsprotestants.com/1500-jeunes-a-saint-malo/?utm_source=Newsletter+Regardsprotestants&utm_campaign=e54046293b-Newsletter+week-end+du+29+avril

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Mon chemin avec l’œcuménisme

Mon chemin avec  l’œcuménisme 

Interview de Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, Primat de Normandie, paru dans le bulletin n° 9 de l’ACONor

Mg LebrunDès le séminaire (au séminaire français de Rome), j’ai rencontré des chrétiens d’autres confessions, notamment deux orthodoxes. Il était alors question de leur mariage; ils disaient qu’ils cherchaient une femme, puis qu’ils seraient ordonnés. Cela faisait du bien de voir une autre pratique, permettant de s’interroger plus profondément sur notre propre tradition.

Puis, étant prêtre 22 ans en Seine Saint-Denis, j’ai rencontré des communautés évangéliques de différentes origines ethniques. Elles nous interrogeaient sur le caractère festif de nos célébrations, et sur notre capacité à évangéliser et à parler de Jésus à ceux qui ne le connaissent pas ou l’ont oublié. J’ai aussi souvent échangé avec 1e pasteur de la paroisse luthérienne de St Denis; notre dialogue était plus théologique que pastoral.

En 2006, j’ai été nommé évêque de Saint Etienne. J’y ai trouvé un comité interconfessionnel qui regroupait 6 églises ou communautés ecclésiales : deux Églises d’Orient (grecque et arménienne); trois Églises issues de Réforme  (une Église apostolique évangélique, l’Église Protestante Unie, et une Église évangélique); et l’Église catholique romaine. J’y ai apprécié l’équilibre entre Églises d’Orient, Églises issues de la Réforme et Église catholique romaine; cela permettait souvent de passer d’une opposition à la perception d’une diversité.

Pendant ces années, j’ai vécu avec beaucoup d’émotion l’annonce de la Résurrection de Jésus, que nous avons célébrée ensemble le matin de Pâques, lorsque la date était commune. Au-dessus de Saint Etienne, il y’a un grand Christ qui domine la ville ; nous nous y retrouvions à l’aube, vers 7 H, pour chanter l’Alléluia pascal et prier pour la ville encore endormie, et pour le monde.

Après cette expérience, nous avons décidé de vivre ensemble une célébration de la Passion, les années où la date de Pâques n’était pas commune ; le chemin  de l’œcuménisme passe par la reconnaissance de notre division, cause de la Passion de Jésus.

Un des moments difficiles –mais pas le moins intéressant- a été la discussion autour de la reconnaissance du baptême. Je tenais pour acquis le fait que tous les chrétiens en France reconnaissaient et respectaient le baptême célébré dans les autres confessions. Cependant certaines Églises ou communautés évangéliques rebaptisent des fidèles baptisés petits dans les Églises catholique ou protestante. C’est pour moi une grande souffrance, mais grâce au dialogue, et aussi à l’aide de frères catholiques mieux formés que moi, j’ai dépassé 1a première réaction trop négative.

La question du dialogue :

Dans ma vie spirituelle et chrétienne, le dialogue occupe une place fondamentale. Non seulement c’est un chemin de paix pour que puissent vivre ensemble les personnes aux convictions et opinions divergentes, mais surtout c’est le chemin que Dieu a pris lui-même pour restaurer le vrai visage de l’humanité. La Bible, et singulièrement l’évangile, c’est un grand livre de dialogue entre Dieu et son peuple. Le dialogue œcuménique n’est donc pas pour moi une simple technique ou une pédagogie, mais le fruit de l’accueil, la réponse de Foi à l‘œuvre de Dieu. Pour le dire plus simplement, ce n’est pas une matière à option, mais un déterminant essentiel de ma Foi au Christ au cœur du monde.

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Le Pape François et les 500 ans de la Réforme

Le pape François a annoncé sa venue à Lund, en Suède, en octobre 2016, pour lancer les 500 ans de la Réforme, l’occasion de revenir sur ses relations avec les autres Églises.

Source : http://reforme.net/une/religion/pape-et-500-ans-reforme

 

Le pape François a annoncé qu’il se rendrait à Lund, en Suède, pour marquer le Pape François 500lancement du cinq centième anniversaire de la Réforme. L’Église luthérienne suédoise est liturgiquement proche du catholicisme mais, pour les œcuménistes, le lieu évoque le principe de Lund qui déclare vouloir « faire ensemble tout ce que nous ne sommes pas obligés de faire séparément ». Il a été énoncé lors de la conférence de Foi et Constitution qui s’est tenue dans cette ville en  1952.

 

Dans le domaine œcuménique, l’attitude du pape marque un infléchissement par rapport à ses prédécesseurs. Jean-Paul II était polonais, pays dont l’histoire est marquée par le face-à-face avec la Russie. Son obsession était la relation avec l’Église orthodoxe. Benoît XVI, allemand, était plus habitué au dialogue avec les protestants, mais c’était avant tout un théologien. Dans ce domaine, on est arrivé à un point où le travail de réflexion a été fait. Les différences irréductibles ont été identifiées et on voit mal quels progrès accomplir, sauf à renoncer à ce qui fonde sa tradition.

Le   pape François s’est engagé dans un « œcuménisme de la charité, de la fraternité et de l’amitié ». Cet infléchissement a été formalisé dans son encyclique La joie de l’Évangile (2013) lorsqu’il écrit : « Si nous nous concentrons sur les convictions qui nous unissent et rappelons le principe de la hiérarchie des vérités, nous pourrons marcher résolument vers des expressions communes de l’annonce, du service et du témoignage. » Pour ce pape, la fraternité est plus importante que les différences doctrinales.

 

     Il a mis en pratique ce principe en ayant des paroles fortes devant les responsables des autres dénominations :
    Francois et Bartholomée Lorsqu’il est allé à Constantinople, il s’est incliné devant le patriarche Bartholomée en lui  demandant de prier pour lui et pour l’Église de Rome : « Nous rencontrer, regarder le visage l’un de l’autre, échanger le baiser de paix, prier l’un pour l’autre sont des dimensions essentielles du chemin vers le rétablissement de la pleine communion. »
     Ses prédécesseurs étaient très soucieux du lien avec les orthodoxes, mais le pape François a élargi cette ouverture aux protestants.
Pour la première fois dans l’histoire de la papauté, il s’est rendu   dans une église pape-Francois-avec-moderateur-Eglise-evangelique-vaudoise-Eugenio-Bernardini-Turin-Italie-lundi-22-juin-2015_1_730_361vaudoise et a déclaré : « En réfléchissant à l’histoire de nos relations, nous ne   pouvons que nous attrister face aux querelles et aux violences commises au nom de la foi… De la part de l’Église catholique, je vous demande pardon pour les attitudes et les comportements non   chrétiens, voire non humains que, dans l’Histoire, nous avons eux contre vous. »
Dans la même    veine, il s’est adressé avec une grande cordialité au pasteur Giovanni Traettino, de l’Église  pentecôtiste de la réconciliation à Caserte. Encore une fois, il apape-Francois-avec-G Traettino (Pentecot) demandé pardon pour les  persécutions perpétrées à l’encontre des pentecôtistes à l’époque de l’Italie fasciste : « Je suis le pasteur des catholiques… Je vous demande pardon pour ces frères et sœurs catholiques qui n’ont pas compris qu’ils étaient tentés par le diable et qui ont fait la même chose que les frères de Joseph. Je demande au Seigneur qu’il nous donne la grâce de reconnaître et de pardonner. »
Pour qualifier son attitude, le pasteur Luca Negro, qui préside la Fédération protestante d’Italie, parle « d’un œcuménisme à 360 degrés  ».

Reprise  théologique

      Dans une perspective protestante, on ne peut reprocher au pape d’être catholique, mais nous  pouvons saluer la façon dont il considère son ministère non en surplomb, mais en fraternité, et en humilité, avec les autres dénominations. Le principe protestant veut que l’Église soit seconde par rapport à la démarche de foi, c’est pourquoi nous pouvons recevoir le pape dans un véritable accueil fraternel, quels que soient les différends théologiques qui nous séparent de lui.

D’autant que nous voulons relever deux points qui ne sont pas sans rappeler l’approche de   Luther:

Le premier est qu’il se présente d’abord comme un pécheur pardonné. Dans son livre d’entretiens, Le nom de Dieu est miséricorde, son intervieweur a rappelé que lorsqu’il a rencontré les détenus à Palmasola, en Bolivie, il a déclaré : « Devant vous se trouve un homme à qui l’on a pardonné ses nombreux péchés. » Luther a écrit à son ami Melanchthon : « Sois un pécheur, et pèche vigoureusement ; mais, avec encore plus encore de vigueur, crois et sois heureux dans le Christ qui vaincra le péché, la mort et le monde… » Dans la même perspective, le pape cite ce propos de saint François de Salles : « En un certain sens, Dieu aime les défauts, parce qu’ils lui donnent l’occasion de montrer sa miséricorde et à nous de demeurer humbles, de comprendre et d’excuser les défauts de notre prochain. »

 

 Le deuxième écho concerne l’importance de la conscience. À l’automne dernier, le pape a rendu visite à l’église luthérienne de Rome après le synode sur la famille, qui a rappelé la position de l’Église qui n’autorise pas à un protestant à communier. Il a été interpellé par une femme mariée à un catholique et qui lui disait son regret de ne pouvoir communier avec son conjoint. Il a alors répondu selon un témoin : « Faites ce que suggère votre conscience. Parlez avec le Seigneur et prenez votre responsabilité. » Comment ne pas penser à Luther qui, à la diète de Worms, a opposé sa conscience éclairée par l’Évangile aux autorités civiles et religieuses de son temps !

 

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Comprendre l’ordre du jour du concile Panorthodoxe :

http://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/Comprendre-l-ordre-du-jour-du-Concile_a4602.html

Comprendre l’ordre du jour du concile Panorthodoxe :

Du 21 au 28 janvier s’est réunie la synaxe des primats de l’Église orthodoxe à Chambésy (Suisse)

     C’est en Crète, et non à Istanbul (Constantinople) que se devrait se réunir, en juin 2016, le très attendu Concile réunissant toutes les Eglises orthodoxes.
     La décision de réunir le Concile Panorthodoxe en Crète et non à Constantinople a été prise en raison “de circonstances objectives extraordinaires”, révèle le site d’information orthodoxe. Une crise entre la Turquie et la Fédération de Russie est invoquée, empêchant le patriarche de Moscou Cyrille et sa délégation de se rendre à Constantinople.
     C’est aussi la raison pour laquelle, depuis le 22 janvier 2016, la réunion des primats des Églises orthodoxes se déroule à Genève. Elle était initialement prévue au Phanar, quartier historique d’Istanbul, où se trouve le siège du Patriarcat œcuménique de Constantinople.

Dans l’article de Vladimir Golovanow paru sur le site « egliserusse.eu » nous pouvons trouver un grand nombre de renseignements sur le prochain Grand Concile Panorthodoxe de la pentecôte qui vient.

Les thèmes approuvés sont : (Pour consulter les textes, suivre les liens)
–           La mission de l’Église orthodoxe dans le monde contemporain (approuvé à l’unanimité),
–           La diaspora orthodoxe, l’autonomie et la façon de la proclamer (deux documents auparavant),
–           Le sacrement du mariage et ses empêchements (réserve des ’Églises de Géorgie et d’Antioche),
–           Les relations de l’Église orthodoxe avec le reste du monde chrétien (deux documents auparavant).
–           et le règlement du concile : règlement intérieur de l’assemblée des évêques de la diaspora orthodoxe

Les thèmes qui n’ont pas trouvé de consensus :

Trois documents n’ont pas été repris faute de consensus
–         Sur la question du calendrier
–         Sur l’autocéphalie et les modes de sa proclamation pour ce qui est du mode interne au territoire des Eglises
–        Sur les dyptiques

On trouve aussi et surtout un historique et un commentaire sur la manière et la pertinence des  décisions qui ont été prises -du point de vue du Patriarcat de Moscou.

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ISÉO – Colloque 2016

Penser les réformes aujourd’hui

12-14 avril 2016 / Paris

Le prochain colloque de l’Institut supérieur d’études oecuméniques se tiendra du 12 au 14 avril 2016 sur le thème : « Penser lesR/réformes aujourd’hui »

Il s’interrogera, à la veille du cinquième centenaire de la Réforme, sur la manière d’envisager ce phénomène aujourd’hui. La première journée sera consacrée à l’examen du concept même à la lumière de la sociologie et de la Bible. La question de la continuité et la rupture des réformes sera également évoquée moyennant quelques mouvements antérieurs au XVIe siècle.

La deuxième journée s’ouvrira avec la Réforme protestante, ses débats historiographiques et ses paradoxes, sans oublier sa diversité. L’après-midi portera sur les effets de la Réforme ainsi que sur son rapport à la modernité.

Un dernier temps proposera des réformes nécessaires aujourd’hui au sein des différentes familles chrétiennes.

 

Penser les R/réformes aujourd’hui – programme agenda_-_iseo_-_programme_du_colloque_2016

Inscription uniquement en ligne. Cliquez ici.

Renseignements :
ISÉO – Institut catholique de Paris
01 44 39 52 56
iseo.theologicum@icp.fr

Source Unité des Chrétiens: http://unitedeschretiens.fr/ISEO-Colloque-des-facultes-2016.html

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Le Centre œcuménique Istina a un nouveau directeur

15 janvier 2016 / Paris

  2014 07 fr Lemaitre   Le 15 janvier 2016, à la veille de la Semaine de prière pour l’unité chrétienne, le frère Franck Lemaître, o.p., a été nommé directeur du Centre d’études œcuméniques Istina, succédant ainsi au frère Michel Mallèvre, qui reste rédacteur en chef de la revue.

       Directeur du Service national pour l’unité des chrétiens à la Conférence des évêques de France de 2009 à 2015 et rédacteur en chef de la revue Unité des Chrétiens pour la même période, Franck Lemaître a également dirigé le Centre Unité chrétienne à Lyon.
      Depuis le 22 juillet 2014, il est consulteur du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.

Fondé en 1928 par les dominicains, le Centre Istina œuvre au rapprochement des chrétiens de toutes confessions. Son directeur est désigné par le prieur provincial de la Province dominicaine de France.

 

(Source : Unité des Chrétiens, d’après istina.eu)

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