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Marié, Catholique, membre engagé dans la Communauté de Chemin Neuf, Co-Président de l'Association Chrétienne Oecuménique de Normandie, délégué à l’œcuménisme et à la promotion de l'unité des chrétiens du diocèse de Rouen

Mgr Ballot a ordonné David Mampouya diacre permanent

Dans la cathédrale de Chambéry le 18 octobre 2014.

Entouré de sa femme et de ses enfants, David Mampouya, délégué interdiocésain pour la pastorale oecuménique et membre de la Communauté du Chemin Neuf à Hautecombe a été ordonné diacre permanent.

20140220 Diacre David a

 

Son engagement, a été reçu par Mgr BALLOT
Archevêque de Chambéry,
Evêque de Maurienne et de Tarentaise.
20140220 Diacre David
 Des pasteurs des différentes confessions étaient présents pour la célébration:
Outre le diacre RICHARD V. (Eglise orthodoxe à Lyon) qui a lu l’ Evangile en russe (Ludmila la femme de David est d’origine russe orthodoxe),

ont prié à leur tour pour David et sa femme:

– Nicole ROULLAND-RUPP, Pasteur de l’Église Protestante Unie de Savoie
– Étienne LINKOWSKI, Pasteur de l’Église Évangélique Baptiste de Chambéry
– Octavio BERMEO, Pasteur de la Communauté Chrétienne de Siloé, Église protestante Evangélique de Chambéry;
– L’Archimandrite Jean RENNETEAU, de la paroisse orthodoxe francophone sainte Catherine à Chambésy (Genève);
– Le révérend Tim WATSON, prêtre anglican, Assistant Curate (vicaire) à la Cathédrale de Liverpool, membre de la Communauté du Chemin Neuf;
– Georges LAWTON, qui a reçu mandat pour exercer le ministère de la Parole et l’administration des sacrements au sein de l’Église protestante unie de Levallois-Clichy, membre de la Communauté du Chemin Neuf;
-Tobias LAGEMANN  Diacre et Prädikant de l’Église luthérienne de Berlin, membre de la Communauté du Chemin Neuf, envoyé par son église se mettre au service de la paroisse luthérienne de Lyon.

 

Tout le monde s’est retrouvé avant le pot de l’amitié dans le cloître sur le parvis de la cathédrale.

© 2015 Communauté du Chemin Neuf: Photos, vidéo, textes

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Eglise Protestante Unie de France (EPUdF)

LA REFORME

Les réformateurs n’ont pas voulu créer une nouvelle Eglise, mais réformer l’Eglise catholique dans le sens d’une plus grande fidélité à l’Evangile. Et ils s’en sont trouvés exclus. Il est clair cependant que l’on ne peut parler de LA réforme mais DES réformes. Ce que l’on désigne par Réforme désigne une série d’évènements associés à la protestation de Luther.

Les principaux réformateurs :

Martin Luther (1483-1546)

Allemand, moine augustin, prêtre, docteur en théologie, enseigne l’ Ecriture Sainte à l’université de Wittenberg.

Luther-1526-1 Son intuition fondamentale est que l’homme est sauvé par la grâce seule, sans mérite de notre part. Cela le conduit à s’opposer au trafic des indulgences par l’ Eglise, qu’il dénonce à travers les 95 thèses[1] affichées à la porte de la chapelle du château de Wittenberg en 1517. C’est un opposant résolu à la scholastique médiévale, il ira jusqu’à dire que les philosophes du Moyen Âge ont livré les clés de la théologie à la morale païenne et d’avoir hellénisé la religion chrétienne. A la diète de Worms ou il comparait pour être jugé, il proteste de l’autorité absolue de l’Ecriture contre toute autorité humaine.

La plupart des princes-électeurs du saint Empire avaient choisi de suivre la réforme de Luther Lors d’une Diète impériale, à Spire, en 1526, une communication de l’empereur Charles Quint avait permis aux partisans de Luther d’espérer quelques accommodements. Trois ans plus tard, la Diète se réunit à nouveau à Spire mais, cette fois, l’empereur Charles Quint se montre intransigeant.                                                      Le 19 avril 1529, cinq princes et les représentants de 14 villes répliquent par une protestation solennelle : « Nous protestons devant Dieu, ainsi que devant tous les Hommes, que nous ne consentons ni n’adhérons au décret proposé dans toutes les choses qui sont contraires à Dieu, à sa sainte Parole, à notre bonne conscience, au salut de nos âmes ». De là l’origine du mot protestant

Ulrich Zwingli (1484-1531)

Suisse, curé rural, aumônier militaire puis curé de Zurich.

    Zwingli Ses idées rejoignent celles de Luther. il rompt avec son évêque et introduit sa réforme avec l’aide du conseil de la ville.  Sa préoccupation va être de dégager un juste enseignement de la bible dans un sens moral et social sous la motion de l’Esprit-Saint.
    Il s’oppose à Luther sur la présence eucharistique (colloque de Marbourg en 1529) Plus rationaliste que mystique, il voyait le baptême et la cène comme des cérémonies symboliques. Il se rapproche des humanistes (diminution de la gravité du péché originel). Ce qui importe, c’est la prédestination par laquelle Dieu choisit ses élus et leur donne le moyen d’obéir à sa loi.                                                                                    On peut le considérer comme l’inspirateur de Calvin qui reprendra beaucoup de ses idées.

Jean Calvin (1509-1564)

Français, docteur en droit.

     CalvinAcquis aux idées de Luther, il apporte des thèmes qui lui sont propres : rôle de l’Esprit-Saint, libération du péché pour l’action, légitimité et régulation des instances politiques. Il va s’opposer à Luther sur la doctrine de l’union sacramentale dans laquelle Christ était « dans, sous et avec la forme » du vin et du pain. Sa pensée était sur ce point similaire à celle de Zwingli. Plutôt que d’avoir une vision purement symbolique, Calvin nota qu’avec la participation du Saint-Esprit, la foi était nourrie et renforcée par le sacrement.
 À la suite de ces théologiens, le protestantisme comprend des courants théologiques très divers. Au sein de la seule fédération protestante de France, on dénombre vingt-six unions d’Églises, tandis que, sur le plan international, ce sont environ trois cent vingt Églises issues du protestantisme qui participent au conseil œcuménique des Églises, aux côtés d’une trentaine d’Églises orthodoxes et des Églises vieilles-catholiques.[2]

L’Eglise Evangélique Luthérienne

 Les Églises évangéliques luthériennes, sont des Églises protestantes de tradition luthérienne, dont la foi s’exprime dans les livres symboliques du luthéranisme, à savoir, en plus des trois credo classiques :
  • la Confession d’Augsbourg, présentée à la Diète d’Empire à Augsbourg en 1530 par Melanchthon;
  • l’Apologie de la Confession d’Hambourg (1531, du même) ;
  • le Petit catéchisme de Luther (1529) ;
  • le Grand catéchisme du même (1529) ;
  • les Articles de Smalkalde du même, et leurs annexes de Melanchthon (1537) ;
  • la Formule de Concorde pour réconcilier les différents courants du luthéranisme (1577).

L’Église Luthérienne en France

 2014 10 01 c Logo_Eglise_evangelique_lutherienne_de_FranceLa plupart des Églises qui formulent ainsi leur foi sont regroupées dans la Fédération luthérienne mondiale (FLM).
En France, les Églises évangéliques luthériennes plus souvent dénommées “Églises de la Confession d’Augsbourg”. Il y en a d’autres comme l’Église évangélique luthérienne – Synode de France et de Belgique (EEL-SFB)
En France, sont membres de cette fédération, et réunies au sein d’une Alliance nationale des Églises luthériennes de France (ANELF), deux Églises :
  • l’Église protestante de la Confession d’Augsbourg d’Alsace et de Lorraine (EPCAAL),
  • l’Église évangélique luthérienne de France.
Un autre groupe assez important est le Concile luthérien international dans laquelle l’EEL-SFB est regroupée.                                                                                                        Plusieurs communautés luthériennes ont autorisé la consécration de femmes évêques.

L’Eglise Réformée

Les Églises réformées se réclament principalement de Jean Calvin, mais aussi d’autres réformateurs tels que Ulrich Zwingli, Heinrich Bullinger, Théodore de Bèze, Guillaume Farel et John Knox.                                                                                              Ces Églises ont essaimé principalement en Suisse, Écosse, Pays-Bas et en France, et, depuis, en Afrique du Sud, Corée du Sud, Nouvelle-Calédonie, au Québec et Polynésie française, etc.                                                                                                                   Dans les pays anglo-saxons, on parle d’églises presbytériennes..

  Organisation
Les Églises réformées ont la particularité d’être indépendantes les unes des autres, aussi bien au niveau organisationnel que doctrinal. Cependant, la plupart d’entre elles sont fédérées en Églises nationales (par exemple l’Église réformée de France). Au niveau mondial l’Alliance réformée mondiale (composée de 70 millions de membres) était l’organisation la plus importante, mais un certain nombre d’Églises adhéraient au Reformed ecumenical council (Conseil œcuménique réformé), les deux organisations ont entamé depuis quelques années un travail de rapprochement, travail qui a abouti en juin 2010 par la fusion de ces deux organisations dans la Communion mondiale d’Églises réformées.
Il existe aussi deux autres organisations internationales, plus conservatrices et moins grandes que l’ARM et le COR : la Conférence internationale des églises réformées et la Confraternité réformée mondiale.
Dans la pratique, les Églises réformées sont généralement organisées selon le système presbytérien synodal, c’est-à-dire que les décisions reposent sur un équilibre entre instances locales et union. D’autres Églises réformées ont une structure congrégationaliste (l’Église locale est autonome). Au sein de la Communion mondiale d’Églises réformées, qui regroupe 230 Églises réformées et 80 millions de membres, on retrouve des Églises réformées de structure presbytérienne et congrégationaliste.

L’Eglise Réformée en France

2014 10 01 c Logo eglise_reforme_de_franceL’ERF est membre de la Fédération protestante de France, de la Communion mondiale d’Églises réformées, du Conseil œcuménique des Églises, de la Conférence des Églises protestantes des pays latins d’Europe, de la Cevaa – Communauté d’Églises en Mission, de la Conférence des Églises européennes et de la Communion d’Églises protestantes en Europe. Elle compte environ 300 000 membres, répartis de manière très inégale sur presque tout le territoire métropolitain (à l’exception de l’Alsace-Moselle et du Pays de Montbéliard). Elle est constituée d’environ 400 églises locales, regroupées en 50 consistoires et huit régions.

 

L’EGLISE PROTESTANTE UNIE DE FRANCE, Communion luthérienne et réformée

2014 10 01 b Article_EPUdF 1

Un processus d’union qualifié d’«historique»

     Historiquement, luthériens et réformés se sont principalement opposés sur la compréhension de la sainte cène (= repas du Seigneur, eucharistie). Ils se sont aussi distingués sur le rapport à l’autorité politique, l’articulation de l’éthique et de la foi, la liturgie, etc. Des efforts d’unité ont été menés depuis 1529.
L’évolution décisive est venue au XXème siècle, avec le mouvement œcuménique.
Né en 1910 à l’occasion de la conférence missionnaire d’Edimbourg, ce mouvement a pris son ampleur avec la fondation du Conseil œcuménique des Eglises (1948), puis le dialogue interconfessionnel rendu possible par le concile Vatican II (1962).
     Sur le plan luthéro-réformé, la déclaration de Barmen (1934) dénonçant théologiquement le nazisme et la Concorde de Leuenberg (1973), accord liant des dizaines d’Eglises protestantes en Europe, ont été des étapes marquantes vers l’unité. Pour les protestants luthéro-réformés, cette unité est comprise comme une «diversité réconciliée » : dès lors que le consensus est acquis sur ce qui est au cœur de l’Evangile et de la vie de l’Eglise (l’amour inconditionnel et libérateur de Dieu est premier, les chrétiens sont appelés à en témoigner en Eglise), toutes les diversités sont positivement reçues. L’union n’est donc ni l’uniformité, ni la fusion-absorption.

Un fonctionnement ouvert et participatif

Repères numériques                                                                                                      L’ERF représente environ 90 % et l’EELF environ 10 % de la nouvelle Église protestante unie de France.
– 2 facultés de théologie (Paris et Montpellier) réunies au sein de l’Institut protestant de          théologie
– 450 pasteurs
– 470 associations cultuelles locales pour 1 000 lieux de culte
– 1 000 dirigeants Pasteurs (pasteurs proprement dits, enseignants en théologie,                    biblistes, etc.) et
    laïcs (présidents de conseils élus)
– 10 000 responsables Membres des conseils, chargés de responsabilité paroissiale
– 110 000 personnes engagées « forces vives » Donateurs réguliers, militants, etc.
– 250 000 participants à la vie de l’Église
– 400 000 personnes font appel au ministère de l’Église protestante unie
 Un fonctionnement par conseils et assemblées  
Considérant que Jésus-Christ est le seul chef de l’Église et que son autorité n’est déléguée à personne, l’Église protestante unie est organisée selon un régime dit « presbytérien-synodal », qui cherche à favoriser la collégialité, la délégation, la rotation des mandats, le débat.
     Les paroisses ou Églises locales sont constituées en associations cultuelles, dirigées par un conseil presbytéral, élu en assemblée générale pour 4 ans.
     Les 10 régions réunissent chaque année à l’automne un synode (40 à 200 personnes selon l’importance de la région), où seuls votent les délégués, pasteurs et laïcs, désignés par les associations cultuelles.
     Le synode national se réunit chaque année, rassemblant quelques 200 personnes. Seuls les délégués, (pasteurs et laïcs) des associations cultuelles désignés par les synodes régionaux ont le droit de vote. Le synode national est le gouvernement de l’Église protestante unie de France. Entre deux sessions, il est représenté par le conseil national (20 membres élus, pasteurs et laïcs).

Un positionnement dans le dialogue

Conviction et tolérance                                                                                              L’Eglise protestante unie de France
  – se considère comme un des multiples visages de l’unique Église du Christ : elle est            pluraliste et œcuménique,
  – accueille en son sein toute personne qui confesse que « Jésus-Christ est le Seigneur »
  – a pour raison de partager l’Évangile : elle se veut confessante et missionnaire,
  – appelle chacun à s’engager de manière responsable et solidaire avec les autres.
     Par choix théologique et expérience historique, elle promeut l’autonomie du politique et l’engagement citoyen laïque. Certains de ses membres ont d’ailleurs activement participé à la préparation et même à la rédaction de la loi de séparation de 1905. En même temps, elle est attachée à ce que toutes les familles de pensée, y compris religieuses, puissent s’exprimer dans le débat public sur le vivre-ensemble et donc à ce que les convictions religieuses ne soient pas confinées à la sphère privée. Les protestants se comprennent volontiers comme des croyants laïques.
L’Église protestante unie est très attachée au dialogue œcuménique, interreligieux et avec la culture.
Des réseaux et partenariats multiples
     Première composante du protestantisme français, l’Eglise protestante unie (autrefois l’ERF et l’EELF) est cofondatrice de la Fédération protestante de France, en 1906.
Elle est présente au sein du Conseil d’Eglises chrétiennes en France (Cecef), de la Conférence des responsables de culte en France (CRCF), etc.
     De très nombreuses œuvres sociales ont pris naissance en son sein et, quoique distinctes sur un plan juridique, demeurent en lien institutionnel et de collaboration avec elle.
     Les relations internationales ont toujours été un élément important de la vie de l’Eglise protestante unie. Elle est en relation bilatérale avec une cinquantaine d’Eglises dans le monde, membre de 8 organismes européens, multicontinentaux ou mondiaux. Elle est cofondatrice du Conseil œcuménique des Eglises.
 Des débats de fond
     L’Eglise protestante unie rythme ses travaux institutionnels avec des débats de fond, en fonction de sa propre réflexion ou en lien avec des sujets de société.
Ainsi : la Diaconie (action sociale ou engagement matériel de l’église dans la société) (2010), Parentalité et famille (2007), Confesser Jésus-Christ dans une société laïque (2005), Eglise et homosexualité (2002), Les rites et les sacrements (2000), Les étrangers (1998), …
 Dans notre région :
Secteur Pays de Caux
Secteur Dieppe-Luneray
Secteur Boucles de Seine
Paroisse d’Evreux
Secteur Caen-Côte de Nacre
Paroisse du Pays d’Auge
Secteur La Manche
Paroisse du Bocage Normand
Paroisse d’Alençon

 

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XXII Congrès œcuménique international de spiritualité orthodoxe

Du 3 au 6 septembre, au monastère de Bose, dans le Piémont. XXII Congrès œcuménique international de spiritualité orthodoxe, qui a lieu sur le thème « Bienheureux les artisans de paix »
Cette rencontre annuelle, organisée depuis plus de vingt ans en collaboration avec les Églises orthodoxes, « est devenue une référence internationale pour le dialogue œcuménique et l’étude de la tradition spirituelle de l’orient chrétien », précise un communiqué.
Durant ces journées, étudiants et chercheurs du monde entier et de diverses confessions chrétiennes échangent au niveau scientifique, culturel et ecclésial, afin d’approfondir les raisons de la paix à travers des approches respectueuses de la diversité.

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L’EGLISE CATHOLIQUE

L’ Eglise Catholique

A sa tête le pape François 265° successeur de Pierre2014 09 pape-francois
Le pape est l’évêque de Rome. À ce titre il est le premier des évêques et veille à l’unité de l’Église.
L’Église catholique est constituée de toutes les Églises locales dont les évêque sont en communion avec le pape. Par la succession apostolique, tout évêque est successeur des apôtres en tant que proclamant la foi reçue des apôtres a l’église locale (le diocèse) sur laquelle il doit veiller et qu’il a mission « d’enseigner, de sanctifier et de gouverner », non comme un maître mais comme un serviteur de la communauté.[1]
L’Église catholique considère que l’Église fondée par le Christ « subsiste » en elle, mais depuis le concile Vatican II (1962-1965) elle reconnait dans les membres des églises séparées des frères:  »  Néanmoins, justifiés par la foi reçue au baptême, incorporés au Christ, ils portent à juste titre le nom de chrétiens, et les fils de l’Église catholique les reconnaissent à bon droit comme des frères dans le Seigneur [2]. » Elle est une institution permanente qui demeure de siècle en siècles depuis Jésus,  sans aucune discontinuité de succession apostolique, en préservant la foi intégrale et l’unité des croyants.
En France :

L’ Eglise Catholique Romaine:

     104 diocèses (93 diocèses territoriaux en métropole, correspondant généralement aux frontières des départements,  9 en outre-mer,  un diocèse aux armées,  et un à la mission de France)  et une prélature apostolique : la Prélature de la Sainte Croix et Opus Dei.
Chaque diocèse est placé sous l’autorité d’un évêque qui jouit des pouvoirs les plus étendus :  la structure de bas de l’Église est le diocèse.
     Les diocèses sont regroupés en 15 métropoles (de la taille d’une région), à la tête desquelles siège un archevêque. L’archevêque n’a pas d’autorité réelle sur ses évêques suffragants, mais il a un rôle de coordination pour toutes les questions qui réclament des réponses sur un territoire étendu.
Les diocèses sont subdivisés en doyennés, eux-mêmes subdivisés en paroisses, desservies par un curé (prêtre responsable).
     Il n’y a pas d’autorité catholique unique en France ; les questions spécifiques à l’Église catholique en France sont traitées par la conférence des évêques de France (CEF).

Les Eglise catholiques orientales:

Placées sous l’ordinariat du cardinal archevêque de Paris, ce sont les Eglises 

Copte, Chaldéenne, Grecque-Hellène, Grecque-Melkite, Syriaque, Gréco-Catholique Roumaine, Byzantine d’origine Russe

Sous leur propre juridiction :

l’ Eparchie de ste Croix de Paris des Arméniens catholiques de France, l’ Eparchie de Notre-Dame du Liban de Paris des maronites de France, l’Eparchie de saint Vladimir le Grand pour les Ukrainiens de rite byzantin de France.

 

En Normandie
                                                                                                                 
 Le siège de la province est l’archevêché métropolitain.
Pour la Province de Normandie le siège est à Rouen

.

2014 09 Mont st MichelLes évêques de la province sont :

-Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, Primat de Normandie

-Mgr Jacques Habert, évêque de Bayeux et Lisieux

-Mgr Grégoire Cador évêque de Coutances et Avranches .

-Mgr Olivier de Cagny , évêque d’Evreux

-Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre

-Mgr Bruno Feillet  , évêque de Séez

 

 

 

[1] Vat II; décret conciliaire Christus Dominus (Préambule)

[2] Vat II; décret conciliaire Unitatis Redintegratio (n°3)

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Semaine Communautaire 2014

20140823 Sablonceaux 001 LaudesDu 18 au 23 Aout 2014,

A l’Abbaye de Sablonceaux (Charente Maritime)

20140823 Sablonceaux 008 Laudes

Plus de 500 membres de la Communauté du Chemin Neuf venus de toute la France,

se retrouvent après un été très animé par des missions pour les jeunes 14/18 ans, 18/30 ans et pour les Couples et les Familles (CANA).

20140823 Sablonceaux 022 Chapiteau

 

 

Un bon temps de formation, d’échanges et de vie communautaire où célibataires consacrés et couples engagés dans la Communauté prennent le temps d’être ensemble pour prier et louer le Seigneur, écouter sa Parole

20140823 Sablonceaux 043 Engagements au célibat

 

Célébrer les engagements au célibat consacré de dix-sept frères et soeurs et les engagements dans la communauté, et…

Faire la fête !

20140823 Sablonceaux 112 Fête20140823 Sablonceaux 133 Fête

© 2015 Communauté du Chemin Neuf: Photos, vidéo, textes

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Le Pape plaide pour l’unité devant des pentecôtistes

– A Caserte,
Le Pape François est retourné à Caserte ce lundi pour rencontrer, en privé, un de ses amis, le pasteur pentecôtiste Giovanni Traettino, engagé, depuis plus de vingt ans, dans le dialogue œcuménique.
2014 07 28 François caserta2
   Il s’est rendu dès son arrivée au domicile du pasteur puis il a rencontré quelque 350 membres de la communauté évangélique dans les locaux de l’église pentecôtiste de la Réconciliation.
     C’est un véritable plaidoyer en faveur de l’unité des chrétiens que le Pape François a prononcé. « Les Eglises ne sont pas nées séparées », a-t-il martelé, « il faut chercher quelque chose de nouveau pour dépasser les barrières qui les divisent ».
Certains s’étonnent que François soit allé à la rencontre des évangélistes. « Je suis venu voir des frères », a-t-il expliqué. Mais le Pape François est allé encore plus loin en demandant pardon, en sa qualité de pasteur des catholiques, pour les persécutions infligées aux pentecôtistes, dans l’Italie fasciste des années 1930. « Je vous demande pardon, a-t-il dit, pour ces frères et sœurs catholiques qui ont été tentés par le diable ». Pour le Pape, l’œcuménisme est un « chemin incontournable », d’autant que nous avons tous « à apprendre les uns des autres ».
Favorable à un rapprochement entre charismatiques catholiques et protestants, le Pape François souligne qu’il faut s’ouvrir « sans crainte à l’action du Saint Esprit qui donne la force d’annoncer la nouveauté de l’ Evangile avec audace, en tous temps et en tous lieux, y compris à contre-courant ».
(Source News.va)

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Nominations au Conseil Pontifical pour l’Unité des Chrétiens

En Juillet:

– Le pape François a nommé ce 22 juillet 3 membres du Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens : Mgr Carlos José Náñez, archevêque de Cordoba (Argentine), Mgr Rodolfo Valenzuela Núñez, évêque de Vera Paz et président de la Conférence épiscopale du Guatemala, et Mgr Gerhard Feige, évêque de Magdebourg (Allemagne).
     Il a aussi nommé 10 consulteurs pour le même dicastère : 4 laïcs, 5 prêtres (dont le P. Franck Lemaître, dominicain français), et une religieuse chinoise.
2014 07 fr LemaitreLe fr. Franck Lemaître o.p. est directeur du service pour l’unité des chrétiens de la Conférence des évêques de France, co-président du comité mixte anglican-catholique en France, co-secrétaire du Conseil d’ Eglises Chrétiennes en France (CECEF) et membre du Groupe des Dombes. Il nous fait le plaisir de participer chaque année avec la Pasteure Jane Stranz, son homologue de l’ Eglise Réformée à la session œcuménique annuelle de l’ ACONor (Association Chrétienne Œcuménique de Normandie).

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 Rencontre du Pape François avec Mgr Justin Welby, archevêque de Canterbury.

le 16 juin au Vatican

2014 06 16 pape Fr_ Arch Welby Le pape Grégoire le Grand avait envoyé le moine Augustin et ses compagnons évangéliser les peuples d’Angleterre « créant une histoire de foi et de sainteté dont auraient ensuite bénéficié de nombreux autres peuples européens. Un chemin glorieux dont il reste des traces profondes dans les institutions et les traditions ecclésiales que nous partageons et qui constituent un fondement solide pour notre fraternité ». Sur des bases comme celles-ci et avec le soutien de l’ARCIC et l’IARCCUM, on peut examiner dans un esprit constructif « les défis anciens et nouveaux de l’engagement œcuménique ».
L’objectif de la pleine unité -même s’il semble lointain bien qu’il soit toujours le but de notre chemin œcuménique- et la préoccupation commune pour les maux de l’humanité, en particulier le trafic des êtres humains, ont fait partie des sujets abordés.

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