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Actualité œcuménique régionale et plus

Le Pape François et les 500 ans de la Réforme

Le pape François a annoncé sa venue à Lund, en Suède, en octobre 2016, pour lancer les 500 ans de la Réforme, l’occasion de revenir sur ses relations avec les autres Églises.

Source : http://reforme.net/une/religion/pape-et-500-ans-reforme

 

Le pape François a annoncé qu’il se rendrait à Lund, en Suède, pour marquer le Pape François 500lancement du cinq centième anniversaire de la Réforme. L’Église luthérienne suédoise est liturgiquement proche du catholicisme mais, pour les œcuménistes, le lieu évoque le principe de Lund qui déclare vouloir « faire ensemble tout ce que nous ne sommes pas obligés de faire séparément ». Il a été énoncé lors de la conférence de Foi et Constitution qui s’est tenue dans cette ville en  1952.

 

Dans le domaine œcuménique, l’attitude du pape marque un infléchissement par rapport à ses prédécesseurs. Jean-Paul II était polonais, pays dont l’histoire est marquée par le face-à-face avec la Russie. Son obsession était la relation avec l’Église orthodoxe. Benoît XVI, allemand, était plus habitué au dialogue avec les protestants, mais c’était avant tout un théologien. Dans ce domaine, on est arrivé à un point où le travail de réflexion a été fait. Les différences irréductibles ont été identifiées et on voit mal quels progrès accomplir, sauf à renoncer à ce qui fonde sa tradition.

Le   pape François s’est engagé dans un « œcuménisme de la charité, de la fraternité et de l’amitié ». Cet infléchissement a été formalisé dans son encyclique La joie de l’Évangile (2013) lorsqu’il écrit : « Si nous nous concentrons sur les convictions qui nous unissent et rappelons le principe de la hiérarchie des vérités, nous pourrons marcher résolument vers des expressions communes de l’annonce, du service et du témoignage. » Pour ce pape, la fraternité est plus importante que les différences doctrinales.

 

     Il a mis en pratique ce principe en ayant des paroles fortes devant les responsables des autres dénominations :
    Francois et Bartholomée Lorsqu’il est allé à Constantinople, il s’est incliné devant le patriarche Bartholomée en lui  demandant de prier pour lui et pour l’Église de Rome : « Nous rencontrer, regarder le visage l’un de l’autre, échanger le baiser de paix, prier l’un pour l’autre sont des dimensions essentielles du chemin vers le rétablissement de la pleine communion. »
     Ses prédécesseurs étaient très soucieux du lien avec les orthodoxes, mais le pape François a élargi cette ouverture aux protestants.
Pour la première fois dans l’histoire de la papauté, il s’est rendu   dans une église pape-Francois-avec-moderateur-Eglise-evangelique-vaudoise-Eugenio-Bernardini-Turin-Italie-lundi-22-juin-2015_1_730_361vaudoise et a déclaré : « En réfléchissant à l’histoire de nos relations, nous ne   pouvons que nous attrister face aux querelles et aux violences commises au nom de la foi… De la part de l’Église catholique, je vous demande pardon pour les attitudes et les comportements non   chrétiens, voire non humains que, dans l’Histoire, nous avons eux contre vous. »
Dans la même    veine, il s’est adressé avec une grande cordialité au pasteur Giovanni Traettino, de l’Église  pentecôtiste de la réconciliation à Caserte. Encore une fois, il apape-Francois-avec-G Traettino (Pentecot) demandé pardon pour les  persécutions perpétrées à l’encontre des pentecôtistes à l’époque de l’Italie fasciste : « Je suis le pasteur des catholiques… Je vous demande pardon pour ces frères et sœurs catholiques qui n’ont pas compris qu’ils étaient tentés par le diable et qui ont fait la même chose que les frères de Joseph. Je demande au Seigneur qu’il nous donne la grâce de reconnaître et de pardonner. »
Pour qualifier son attitude, le pasteur Luca Negro, qui préside la Fédération protestante d’Italie, parle « d’un œcuménisme à 360 degrés  ».

Reprise  théologique

      Dans une perspective protestante, on ne peut reprocher au pape d’être catholique, mais nous  pouvons saluer la façon dont il considère son ministère non en surplomb, mais en fraternité, et en humilité, avec les autres dénominations. Le principe protestant veut que l’Église soit seconde par rapport à la démarche de foi, c’est pourquoi nous pouvons recevoir le pape dans un véritable accueil fraternel, quels que soient les différends théologiques qui nous séparent de lui.

D’autant que nous voulons relever deux points qui ne sont pas sans rappeler l’approche de   Luther:

Le premier est qu’il se présente d’abord comme un pécheur pardonné. Dans son livre d’entretiens, Le nom de Dieu est miséricorde, son intervieweur a rappelé que lorsqu’il a rencontré les détenus à Palmasola, en Bolivie, il a déclaré : « Devant vous se trouve un homme à qui l’on a pardonné ses nombreux péchés. » Luther a écrit à son ami Melanchthon : « Sois un pécheur, et pèche vigoureusement ; mais, avec encore plus encore de vigueur, crois et sois heureux dans le Christ qui vaincra le péché, la mort et le monde… » Dans la même perspective, le pape cite ce propos de saint François de Salles : « En un certain sens, Dieu aime les défauts, parce qu’ils lui donnent l’occasion de montrer sa miséricorde et à nous de demeurer humbles, de comprendre et d’excuser les défauts de notre prochain. »

 

 Le deuxième écho concerne l’importance de la conscience. À l’automne dernier, le pape a rendu visite à l’église luthérienne de Rome après le synode sur la famille, qui a rappelé la position de l’Église qui n’autorise pas à un protestant à communier. Il a été interpellé par une femme mariée à un catholique et qui lui disait son regret de ne pouvoir communier avec son conjoint. Il a alors répondu selon un témoin : « Faites ce que suggère votre conscience. Parlez avec le Seigneur et prenez votre responsabilité. » Comment ne pas penser à Luther qui, à la diète de Worms, a opposé sa conscience éclairée par l’Évangile aux autorités civiles et religieuses de son temps !

 

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ISÉO – Colloque 2016

Penser les réformes aujourd’hui

12-14 avril 2016 / Paris

Le prochain colloque de l’Institut supérieur d’études oecuméniques se tiendra du 12 au 14 avril 2016 sur le thème : « Penser lesR/réformes aujourd’hui »

Il s’interrogera, à la veille du cinquième centenaire de la Réforme, sur la manière d’envisager ce phénomène aujourd’hui. La première journée sera consacrée à l’examen du concept même à la lumière de la sociologie et de la Bible. La question de la continuité et la rupture des réformes sera également évoquée moyennant quelques mouvements antérieurs au XVIe siècle.

La deuxième journée s’ouvrira avec la Réforme protestante, ses débats historiographiques et ses paradoxes, sans oublier sa diversité. L’après-midi portera sur les effets de la Réforme ainsi que sur son rapport à la modernité.

Un dernier temps proposera des réformes nécessaires aujourd’hui au sein des différentes familles chrétiennes.

 

Penser les R/réformes aujourd’hui – programme agenda_-_iseo_-_programme_du_colloque_2016

Inscription uniquement en ligne. Cliquez ici.

Renseignements :
ISÉO – Institut catholique de Paris
01 44 39 52 56
iseo.theologicum@icp.fr

Source Unité des Chrétiens: http://unitedeschretiens.fr/ISEO-Colloque-des-facultes-2016.html

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Le Centre œcuménique Istina a un nouveau directeur

15 janvier 2016 / Paris

  2014 07 fr Lemaitre   Le 15 janvier 2016, à la veille de la Semaine de prière pour l’unité chrétienne, le frère Franck Lemaître, o.p., a été nommé directeur du Centre d’études œcuméniques Istina, succédant ainsi au frère Michel Mallèvre, qui reste rédacteur en chef de la revue.

       Directeur du Service national pour l’unité des chrétiens à la Conférence des évêques de France de 2009 à 2015 et rédacteur en chef de la revue Unité des Chrétiens pour la même période, Franck Lemaître a également dirigé le Centre Unité chrétienne à Lyon.
      Depuis le 22 juillet 2014, il est consulteur du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.

Fondé en 1928 par les dominicains, le Centre Istina œuvre au rapprochement des chrétiens de toutes confessions. Son directeur est désigné par le prieur provincial de la Province dominicaine de France.

 

(Source : Unité des Chrétiens, d’après istina.eu)

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L’Eglise orthodoxe russe estime que les interventions de certains fidèles contre le rapprochement entre chrétiens sont un péché

 « L’Eglise orthodoxe russe estime que les interventions de certains fidèles contre le rapprochement entre chrétiens sont un péché »

Voici quelques extraits d’une interview accordée par le métropolite Hilarion, président du DREE du patriarcat de Moscou, à l’agence TASS

Mgr Hilarion

Q: – Que peut-on répondre à ceux des orthodoxes russes qui désapprouvent la décision du patriarche Cyrille d’accepter la rencontre et le dialogue avec le pape François ? Comment rasséréner ces croyants qui craignent l’union des Eglises et les changements de rite ?

R: – « Il y a des fidèles de l’Eglise orthodoxe russe qui estiment que la division entre chrétiens est un état de choses qui va de soi. Certains groupes vont jusqu’à dire que cette division doit se perpétuer, s’approfondir et qu’il nous faut nous appliquer de toutes de nos forces pour qu’un tel rapprochement ne se produise jamais. Est-il nécessaire de les persuader du contraire ? Ils ne changeront de toute façon pas d’attitude.
     Relisons les Evangiles : il y est dit que Jésus-Christ priait pour que ses disciples restent unis. « Père Saint, garde-les dans Ton Nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient, un comme nous (Jn, 17, 11) ». Ce commandement d’unité a été enfreint. Qui était dans son bon droit ? Il y a là matière à débat. Mais la réalité est que les chrétiens restent divisés.
     L’Eglise orthodoxe russe n’estime pas que l’Eglise en tant que telle est divisée, nous croyons en « l’Eglise, une, sainte, catholique et apostolique ». Nous croyons que l’Eglise du symbole de la foi est bien la nôtre. Cependant, nous déplorons que les chrétiens ne soient pas unis, qu’ils pensent différemment, qu’ils ne communient pas au même calice. Ce serait un péché que de penser autrement ».

Source: egliserusse.eu

Intégralité de l’article :http://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/Monseigneur-Hilarion-L-Eglise-orthodoxe-russe-estime-que-les-interventions-de-certains-fideles-contre-le-rapprochement_a4636.html

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Colloque Famille en Communauté

Quelque 200 personnes réfléchissent sur « Famille en communauté », dans le cadre d’un colloque international et œcuménique organisé du 3 au 6 mars en Suisse, par le Chemin-Neuf.

 

Comme d’autres communautés nouvelles, notamment les Béatitudes et le Verbe de Vie, le Chemin-Neuf a accueilli dès sa fondation des couples avec enfants. Ces familles partageant la vie des autres membres, célibataires, consacrés ou non, ont toujours été perçues comme une chance… Mais cette cohabitation a provoqué aussi incompréhensions et difficultés, en particulier pour l’éducation des enfants (lorsqu’il y avait délégation de l’autorité parentale à la communauté) ou pour l’articulation entre vie professionnelle et vie communautaire (lorsqu’un père de famille engagé à plein-temps dans la communauté ne ramenait pas d’argent à ses proches)…

D’où le besoin d’une réflexion théologique et canonique sur la place et le rôle des familles engagées en communauté.

C’est ainsi qu’un colloque international et œcuménique sur « Famille en communauté », à l’initiative du Chemin-Neuf, se tient du 3 au 6 mars, au centre œcuménique Bethanien de Sankt-Niklausen, sur les bords du lac de Sarnen, en Suisse alémanique. « Nous savions que cela était vécu chez les protestants depuis la Réforme, notamment dans l’Église mennonite où des familles vivent ensemble et mettent leurs biens en commun. Et nous souhaitions que ces autres traditions ecclésiales puissent nous éclairer sur la mission évangélisatrice des familles », explique Blandine Lagrut, consacrée de la communauté du Chemin-Neuf (CCN), professeur de philosophie au Studium de Chartres (pour les jeunes de la CCN) et coordinatrice de ce colloque suisse.

En lien avec le Synode des familles et l’Année de la Miséricorde

     Ce colloque en Suisse est une première, en lien avec le Synode des familles et l’Année de la Miséricorde. Parmi les intervenants, l’historienne Marie-Françoise Baslez, enseignante à la Sorbonne et au Centre Sèvres, a rappelé que jusqu’au début du IIIe siècle, les communautés chrétiennes étaient des maisonnées, rassemblant la famille, ses salariés et ses esclaves. « Dans une structure antique de maisonnée, tout le monde suivait la religion du chef de famille, comme on le voit avec les baptêmes collectifs dans les maisonnées de Lydie, de Philémon ou de Stephanus de Corinthe », citant les lettres de Paul et les Actes des apôtres.
D’autres experts (1) doivent prendre la parole, notamment Mgr Vincenzo Paglia, président du conseil pontifical pour la famille  (2), et le théologien jésuite Jean-Louis Ska, de l’Institut biblique de Rome.

 

     Les quelque 200 inscrits à ce colloque attendent beaucoup aussi de la quinzaine d’ateliers proposés autour de questions concrètes: « Rebondir après un échec: relecture d’une expérience communautaire difficile »; « Entre pauvreté et simplification de vie : quel chemin pour les couples? »; « Être grands-parents en communauté »…

Des ateliers qui devraient être riches, d’autant que plusieurs participants représentent des communautés protestantes ou catholiques accueillant des familles, telles « Bruderhof » et « Jesus-Bruderschaft » en Allemagne; « Cor et Lumen Christi » en Grande Bretagne; « Jahu » et « Diakonieverein » en Suisse; « Shalom » au Brésil.

Les deux significations du mot « utopie »

D’ailleurs, le sous-titre donné à ce colloque – « Famille en communauté?: l’avenir d’une utopie? » – rappelle qu’il y a deux significations au mot « utopie ». « Le modèle de familles vivant en communauté avec d’autres états de vie est-il voué à s’effondrer ou est-il une véritable espérance, en cohérence avec les origines du christianisme et la mission de l’Église? », résume Blandine Lagrut.

Le pardon placé au centre

Une telle vie commune entre différents états de vie suppose de relever de nombreux défis. « Si le pardon n’est pas placé au centre d’une vie commune entre différents états de vie, celle-ci ne durera guère plus que quelques mois », et elle insiste sur la « chance » de tenir ce colloque pendant l’Année de la miséricorde.

Quant aux communautés qui continuent d’accueillir des familles, elles constatent, assure-t-elle encore, que « cela porte du fruit ». Notamment des fruits d’évangélisation. Pour des jeunes de 18-35 ans qui ont du mal à gérer leur vie affective et sexuelle, il est « rassurant », selon elle, d’entendre le témoignage de couples. « Cela prouve que, quel que soit l’état de vie, tout baptisé reçoit un appel à suivre le Christ pauvre, humble et chaste. Et que la vocation à la sainteté est universelle. »

Claire Lesegretain, le 05/03/2016

(1) Les actes de ce colloque seront publiés dans une revue scientifique et un ouvrage rassemblera quelques témoignages de familles en communauté.

source: http://www.la-croix.com/Religion/Monde/Des-chretiens-reflechissent-au-modele-des-familles-chretiennes-vivant-en-communaute-2016-03-05-1200744442

 

(2) Mgr Paglia au Colloque international de la Communauté du Chemin Neuf : « Une alliance pour fermenter la société ».

 

Mgr-Vincenzo-Paglia

Une alliance entre la famille et la communauté chrétienne afin qu’elles ne se renferment pas dans leur cercle et qu’elles soient capables de « fermenter de façon ‘familiale’ toute la société ». C’est le souhait qu’a formulé le président du Conseil pontifical pour la famille, Mgr Vincenzo Paglia, en intervenant au Colloque international, intitulé « Famille en communauté, l’avenir d’une utopie ? », qui a été organisé par la Communauté du Chemin Neuf, en Suisse du 3 au 6 Mars 2016.

 

Au centre de cette rencontre, le rôle des familles dans l’église, avec pour objectif le fait de comprendre comment « suivre le Christ comme une famille » et être « des familles en mission » peut renouveler l’Église, en tenant compte des éléments d’harmonie qui existent entre la vocation à la famille et celle à la vie religieuse. En ce sens, Mgr Paglia a souligné la responsabilité des « nouvelles communautés » à vivre leur charisme justement d’une façon plus généreuse et créative, tout en étant solides dans la « perspective qui lie étroitement la famille et la communauté, le ministère ordonné, le sacrement nuptial et le célibat ».

 

L’utopie, qui est mentionnée dans le titre du colloque, – a ainsi expliqué le président du Conseil pontifical pour la famille – est « celle d’un nouveau mode de vie, qui ne reste pas enfermé sur lui-même, mais qui est ouvert à tous, et tout particulièrement aux pauvres. Dans une telle perspective, la responsabilité d’accueillir ceux qui n’ont pas de famille, tout comme les personnes qui sont seules et faibles afin qu’elles fassent partie de la grande famille de Dieu, devient tout à fait claire. Et c’est dans cette même perspective – a encore ajouté Mgr Paglia – que doit être également posée la question des divorcés remariés ou de ces familles imparfaites et en devenir. […] On pourrait dire que les familles sont trop peu ecclésiales, car elles se referment facilement sur elles-mêmes, et que les communautés chrétiennes sont trop peu familiales, car elles sont alourdies par la bureaucratie, voire rendues grisâtres par le fonctionnalisme ».

 

La famille – a encore poursuivi Mgr Paglia – « est une bénédiction irremplaçable pour la terre, qui est notre maison commune, la maison de tous les peuples d’hier, d’aujourd’hui et de demain. La promesse que Dieu fait à l’homme et à la femme, à l’origine de l’humanité, comprend tous les êtres humains, jusqu’à la fin de l’histoire. Si nous avons la foi – il en suffit de si peu – les familles des peuples de la terre regarderont les familles chrétiennes et les communautés chrétiennes, qui vivent déjà cette ample solidarité, et se reconnaîtront dans cette bénédiction. C’est le grand rêve de Dieu pour le monde, à savoir celui de réunir tout le monde – a enfin conclu Mgr Paglia – dans la seule et unique famille humaine ».

Source: http://www.familiam.org/pls/pcpf/v3_s2ew_consultazione.traduzione?id_pagina=12937&id_lingua=4

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Conférence œcuménique: «Itinéraire de Foi, Itinéraire spirituel»

LE 10 MARS 2016 
20h – Centre Diocésain, 41 route de Neufchâtel à Rouen
 

« Itinéraire de Foi, Itinéraire spirituel – deux acteurs de la relation œcuménique portent un regard sur leur expérience » 

20160310 Intervenants

Deux acteurs des relations œcuméniques portent un regard sur leur expérience :

Le père Yves-Marie Blanchard est professeur émérite d’exégèse à l’Institut catholique de Paris, délégué à l’œcuménisme du diocèse de Poitiers, membre du Groupe des Dombes.

Claire  Sixt Gateuille  est  pasteure,  chargée  des  relations  internationales pour l’Église protestante unie de France.

     A  notre demande,  ils acceptent  de témoigner  de  leur expérience. Tous deux  ont ajouté  une dimension  œcuménique à leurs engagements : lui à son travail de chercheur-professeur, elle à son ministère de pasteur en paroisse.

Pour Yves-marie, pour Claire, l’œcuménisme est-il un engagement  de  plus, une  charge supplémentaire ?  Fait-il conflit avec leur engagement premier, ou bien au contraire ? Pourraient-ils y renoncer ?  Qu’est-ce que ça change.

Enfin, pourquoi êtes-vous “œcuménique(s)”, depuis quand ?

 

Soirée préparée par le Père Luc-Marie Duprey et le Pasteur Zoltan Zalay.

Contacts : Père Luc-Marie Duprey : 02 35 32 82 05 lmduprey@orange.fr

Pasteur Zoltan Zalay :       02 35 7167 14 zoltan.zalay.2015@gmail.com

 

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CNEF: BOUGE TA FRANCE

Bouge ta France, c’est quoi ?

“Bouge ta France” est une dynamique nationale d’évangélisation conduit par le CNEF, les églises locales et les associations, pour bénir, aider et servir le pays!

Les églises et les communautés qui les entourent sont donc parties intégrantes de ce projet. Nous vous encourageons, jeunes et moins jeunes, à soutenir BTF en proposant un projet d’évangélisation, mais aussi par la prière et financièrement si vous le pouvez.

 

https://www.youtube.com/watch?v=hgfTWdYFlIo

 

A vivre en trois temps forts :

  • un grand évènement pour les jeunes de 15 à 25 ans au stade Océane du Havre les 11, 12 et 13 juillet 2017 avec plusieurs milliers de jeunes ;
  • un méga rassemblement chrétien pour tous le 14 juillet suivi d’activités pour les familles et de témoignages de la foi autour du stade ;
  • A partir du 15 juillet : l’envoi des jeunes dans toutes les régions de France pour des actions citoyennes et d’évangélisation !

Ces projets auront été labellisés BTF en amont par nos soins, soit directement après le rassemblement du Havre, soit plus tard dans l’année.

 

Pour tout renseignements complémentaires voir le site: http://bougetafrance.fr/

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Colloque Oecuménique CCN

FAMILLES EN COMMUNAUTE

Intervenants et invités:

Marie-Françoise Baslez, Paris (France), Faculté d’Histoire, Paris IV-Sorbonne, Centre Sèvres.
André Birmelé, Strasbourg (France) Faculté de Théologie Protestante (doyen émérite), Université de Strasbourg, Académie Internationale des Sciences Religieuses, Foi et Constitution (COE)
Véronique et Gilles Cormier, ccn Lyon (France), Cana International
Catherine et Pierre-Yves Denis, ccn Levallois (France)
Laurent Fabre, ccn, Abbaye d’Hautecombe (France) Fondateur et responsable de la Communauté du Chemin Neuf
Marie-Noëlle et Yves Gélébart, ccn Tigery (France)
Anne-Cathy Graber, ccn, Paris (France) Forum Chrétien Mondial, Groupe des Dombes, Centre Mennonite de Paris, Docteur en Théologie
Martin Hoegger, Lausanne (Suisse) Eglise Evangélique Réformée
Mgr Martin Kopp, Brunnen (Suisse) Vicaire Général du diocèse de Coire
François Lestang, ccn, Abbaye des Dombes (France) Faculté de Théologie, Université Catholique de Lyon, Institut de Théologie des Dombes (ITD)
Jean-Daniel Plüss, Vitznau (Suisse) membre de l’EPTA et de l’EPCRA, Président de la Fondation du Forum Chrétien Mondial
Mgr Vincenzo Paglia, archevêque, Rome (Italie), Président du Conseil Pontifical pour la Famille
Yola Rzeczewska, ccn, Londres (UK) Docteur en Droit Canon
Giancarlo Rocca, soc. San Paolo, Rome (Italie) Faculté d’Histoire, Université Pontificale Grégorienne
Jean-Louis Ska, sj, Rome (Italie) Faculté de Théologie, Institut Biblique Pontifical
Michelina Tenace, Centro Aletti, Rome (Italie) Université Pontificale Grégorienne
Etienne Vetö, ccn, Rome (Italie) Faculté de Théologie, Université Pontificale Grégorienne

Session

Dossier de présentation:  http://www.chemin-neuf.fr/formations-chretiennes-fr/colloque-famille-en-communaute/dossier-de-presse/dossier-de-presse-colloque.pdf

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