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Pardon, indulgences et coronavirus: réaction protestantes

Un article du site suisse “Protestinfo”

Protestinfo est une agence de presse spécialisée dans l’actualité des Églises réformées de Suisse romande. Elle diffuse une information libre et loyale touchant également aux questions d’éthique, de société et de spiritualité.

 

Si le terme employé fait débat et est maladroit, la teneur des réactions est plutôt intéressante dans sa modération.
Il n’en reste pas moins qu’il serait plus que temps que mon Eglises arrête de dire les choses du 21°siècle avec les mots du 16° siècle, surtout s’ils ont été vecteur de division.
Geo
La récente déclaration du pape quant à l’indulgence plénière accordée aux malades du coronavirus [1] a suscité de vives réactions auprès des protestants, qui ont largement exprimé leur consternation sur les réseaux sociaux. Mais n’y aurait-il pas un malentendu, sur les mots et les intentions?

L’annonce a été faite le 20 mars, dans le contexte de crise sanitaire extrême que connaît en particulier l’Italie. Par voie de décret, le Vatican a annoncé que l’Église catholique accordait l’indulgence plénière aux malades du coronavirus sous certaines conditions. Une déclaration qui n’a pas manqué d’indigner nombre de protestants, qui ont relayé l’info sur les réseaux sociaux avec la plus vive consternation.

«Encore une fois, je me suis dit: “L’Église catholique en est encore là?” Encore à faire de Dieu un comptable qui récompense chacun, chacune selon ses bonnes ou mauvaises actions? Encore à s’arroger le pouvoir d’influencer le jugement de Dieu», confie Olivier Bauer, théologien réformé. Charlotte Kuffer, l’ancienne présidente de l’Église protestante de Genève, qui se dit «profondément attachée à la communion des Églises chrétiennes, exprime également sa «désespérance de protestante, de ne pouvoir partager une compréhension du pardon qui se nourrisse du “sola gratia” qui mette en avant l’amour de Dieu sans condition.» Chez les protestants, le pardon est en effet accordé par la seule grâce de Dieu, par le moyen de la foi.

Un persistant malentendu

La déclaration aurait-elle dès lors réveillé les divergences théologiques entre les deux confessions? «La question des indulgences est un des points majeurs de décrochage entre les deux Églises et contre laquelle les réformateurs se sont battus», rappelle l’historien du christianisme Michel Grandjean. «Or l’un des problèmes est que la majorité des protestants comme des catholiques ne comprennent pas vraiment de quoi il s’agit; ils confondent pardon et indulgence.»

Pour Jean-Marie Brandt, ancien président de la Fédération ecclésiastique catholique romaine du canton de Vaud, «il n’y a pas de confusion possible. Le pardon ne vient que de Dieu. L’indulgence, quant à elle, vise à réconcilier la personne avec elle-même et sa communauté.» Le théologien Jean-Baptiste Lipp, président de la Conférence des Églises réformées romandes (CER), invoque également l’existence d’un «malentendu»: «Il ne s’agit pas de remettre en question la théologie de la grâce, sur laquelle luthériens et catholiques se sont accordés en 1999.» Pourtant, estime-t-il, «probablement que les catholiques jouent sur cette ambiguïté…»

Face aux réactions des protestants, Jean-Marie Brandt admet regretter «un manque de précaution de la part des autorités vaticanes: elles auraient pu anticiper les réactions des autres confessions en rédigeant un communiqué plus clair». Cela aurait-il suffi? Pas sûr, car restent les conditions auxquelles sont soumis les fidèles pour bénéficier de ces indulgences.

Des conditions qui dérangent

«L’intention de rejoindre les malades auxquels on n’a plus accès est belle dans l’intention, on voudrait la respecter, mais les modalités ont de quoi nous désarçonner», énonce le théologien réformé Christophe Chalamet. Outre l’injonction de réciter diverses prières et invocations à la Vierge Marie, accompagnées sous recommandation d’un chapelet ou crucifix, c’est le minutage de la lecture de la Bible qui a choqué les protestants. En effet, la Pénitencerie apostolique accorde l’indulgence plénière «à ceux qui s’adonnent à la lecture de la Sainte Écriture pendant au moins une demi-heure». Si les réformateurs pourraient se réjouir de cette appel soutenu à lire la Bible, il n’en reste pas moins que, «même s’il n’y a pas de monnaie trébuchante, on est quand même dans le registre du donnant-donnant», s’indigne Christophe Chalamet.

L’historien Michel Grandjean souligne néanmoins qu’ici «les conditions sont réduites au minimum», contrairement à ce qui a pu être requis à d’autres époques (argent, pèlerinage, etc.). «Cela donne l’impression d’une entreprise qui propose un discount – c’est quasiment les soldes», ironise-t-il. Olivier Bauer se veut plus critique: «Sous couvert de compassion, la Pénitencerie apostolique sous l’autorité du souverain pontife profite de l’épidémie de Covid-19 pour tenter de réaffirmer un pouvoir qui lui échappe.» Au contraire, répond Jean-Marie Brandt: «Le pape renonce ainsi au rôle d’intermédiaire de l’Église, et invite à la responsabilité directe entre le Créateur et sa créature» – l’essence même de la théologie réformée.

Répondre à l’urgence

Du côté de l’Église évangélique réformée de Suisse (EERS), on se veut plus accueillant. «Le pape n’invente pas de nouveaux critères, les décrets correspondent à la doctrine et aux normes juridiques de l’Église catholique. Le Vatican ne propose pas de marchandage ni ne distribue de billets à prix réduit pour le Royaume des cieux, mais réagit à une situation dramatique», insiste Frank Mathwig, chargé des questions théologiques et éthiques au sein de l’institution.

«Certes, cette déclaration nous laisse un petit goût de rebouilli du 16e siècle», atteste Jean-Baptiste Lipp. «Mais face à l’épreuve, chaque Église dispose d’une pharmacie de trésors spirituels pour accompagner ses fidèles. Il est donc normal qu’elle les utilise.»

«Après de telles déclarations, on se sent un peu étrangers les uns aux autres», confie pour sa part Christophe Chalamet. «Mais il ne faudrait pas oublier l’intention derrière ces pratiques d’un autre âge, qui est de rejoindre les personnes en souffrance, là où elles se trouvent», ajoute-t-il. «C’est ça l’essentiel.» «Cet appel aux catholiques devrait peut-être aussi nous inviter à renouer avec ce qui, dans notre tradition réformée, peut nous aider et nous relier à la Source», estime par ailleurs le président de la CER. «Car si l’amour de Dieu est universel, est-ce que je tends la main vers ce qui m’est offert?»

Des désaccords théologiques perdureront encore entre les deux confessions, mais «c’est dans la solidarité avec les malades, les mourants, ceux qui les aident et leurs familles que l’œcuménisme se révèle le plus efficace», rappelle le théologien de l’EERS. «L’œcuménisme est un long chemin, encore jonché de grosses pierres qui nous déstabilisent», enchaîne Charlotte Kuffer: «La pratique œcuménique de terrain, à travers notamment du travail des aumôniers, est ce que les chrétiens ont de plus précieux.»

[1] https://www.vaticannews.va/fr/vatican/news/2020-03/decret-l-indulgence-pleniere-accordee-aux-malades-du-covid19-et.html

article sur le site: https://www.protestinfo.ch/eglises/2020/03/pardon-indulgences-et-coronavirus-oecumenisme-eglise-catholique-theologie-luther

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En mémoire du Père André Fournier

 

 

 

Mon frère, le Père André Fournier est décédé le 8 février au domicile Rennais de ses amies Christine et Odile Abrioux-Bedouet, entouré de leur affection et de leurs soins des suites d’un cancer inguérissable, âgé de 73 ans.

André, après un CAP de fraiseur en 1965 et un CAP de dessinateur en constructions mécaniques en 1966 a travaillé comme agent technique jusqu’en 1976.
Servir était la devise des Routiers Scouts de France. C’est profondément marqué par ces valeurs du scoutisme que toute sa vie va être mise au service des autres dans ses diverses responsabilités et engagements, que ce soit dans le scoutisme ou l’animation liturgique, et qui se continuerons dans le monachisme ou dans le ministère sacerdotal.
Son parcours il en parle dans une interwiew à la Croix en 2007:
«Enfant, j’habitais Montmartre à Paris : sur un mont, déjà ! J’avais 5 ans quand je suis venu au Mont pour la première fois. Je me souviens de mon choc en voyant, du fond de la baie, cette pyramide posée sur le sable. J’y suis revenu à 26 ans en tant que responsable scout, et pendant trois ans j’ai séjourné régulièrement au sein de la petite communauté monastique de l’époque, dont le prieur était le Père. Bruno de Senneville, bénédictin du Bec Hellouin.
Lors d’une retraite, j’ai eu la certitude que Dieu me demandait de rester là et en 1976, j’entrais dans cette communauté. Cela fait donc trente et un ans que je vis sur le Mont. Il me fascine toujours autant, et j’éprouve un coup au cœur à chaque fois que j’y reviens après quelques semaines d’absence… Cela n’empêche, la vie y est difficile : le Mont est un lieu de combat spirituel, mais aussi physique et psychologique.”

 

 André entre-temps, est ordonné diacre dans l’abbatiale du Mont en 1983, puis prêtre dans la cathédrale de Coutances en 1984.
Pendant quatre ans, il se partage entre Pontorson (à 7 km) et le Mont, où il est moine hôtelier.

En 1989, ses frères et soeurs l’élisent prieur de la communauté. Mgr Fihey, l’évêque de Coutances d’alors, l’autorise à cesser ses deux mi-temps.

En 1995, André est nommé administrateur de la paroisse du Mont Saint-Michel avant de devenir, l’année suivante, recteur du sanctuaire – tout en demeurant prieur de la communauté de l’abbaye jusqu’en 2001 ou il favorise l’arrivée et l’accueil des Fraternités Monastiques de Jérusalem pour remplacer la trop petite communauté pour qui la tâche est devenue trop lourde.

Avec le Père François Lancelot, 87 ans, il s’installe alors dans le village, à la maison du Pelerin, à proximité de l’église paroissiale Saint-Pierre – qui est aussi l’église du sanctuaire du Mont depuis dix siècles et y fonde la librairie Siloe “pour qu’on puisse acheter une bible sur le Mont

Il est nommé directeur diocésain des pèlerinages en 2001.

En 2009, tout en restant recteur du Sanctuaire du Mont Saint-Michel, il deviendra curé de la paroisse Notre-Dame de la Paix de Pontorson, en charge de 16 clochers. Et en septembre 2018, il accepte d’être administrateur de la paroisse de Saint Michel de Ducey

André était membre de l’Association Chrétienne Oecuménique de Normandie et la présence de ministres de la Communion Anglicane et de l’ Eglise Evangélique Protestante témoigne de son attachement discret mais profond à la la promotion de l’unité des chrétiens.

 

(Eléments d’articles publiés avec l’aimable autorisation de la rédaction du journal La Croix)

 

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Donna Derrick Reader de l’Eglise Anglicane

Office d’admission de Donna Derrick comme Raeder de l’Eglise Anglicane

Notre amie Donna Derrick, administrateur de l’Association Chrétienne Oecuménique  de Normandie (ACONor), sera installée dans le ministère de Reader (diacre) de l’Eglise Anglicane samedi 11 janvier.

Le Père M-Elie-Joseph Pottin et moi-même représenterons l’ACONor

Nous l’accompagnons de notre amitié et notre Prière

 

20200111 Donna Derrick licensing invitation

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Lundi 23 novembre 2020 à 20h30

Site internet http://www.labiblearouen.org/

 

Lundi18 janvier 2021 à 19h
A l’Espace du Moineau, au centre diocésain
41 route de Neufchâtel, 76000 Rouen.

 

La Bible à Rouen vous invite à une Conférence-débat :

 

Christianisme et culture sans Dieu
Pourquoi l’acte de lecture de la Bible est-il décisif aujourd’hui
 
avec le Pasteur François Clavairoly
Président de la Fédération protestante de France

 

François Clavairoly est Président de la Fédération protestante de France depuis 2013 et membre du Groupe des Dombes,
 
Pasteur à Rouen de 1982 à 1988, il a présidé de 2002 à 2007 la communion protestante luthéro-réformée, et a joué un grand rôle dans la création de l’Église protestante unie de France.
Depuis 2015, il assure la présidence de la Conférence des responsables de culte en France

Il vient de publier “Après Dieu” : Lien ici

 

Libre participation aux frais
 Pour des raisons de sécurité sanitaires,
inscription obligatoire au 06 62 07 50 89 ou par mail : labiblearouen@laposte.net

 

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Promesse d’Eglise

 

Novembre 2019

 

La Communauté du Chemin Neuf participe au projet et à la réflexion “Promesse d’Eglise” qui ont vu le jour à la suite de la réception de la lettre du Pape François au peuple de Dieu.

Le groupe “Promesse d’Église” est un groupe large et éclectique. Une trentaine de réalités variées s’y rassemblent (communautés, mouvements, associations). Leur point commun : l’exercice d’une certaine gouvernance au nom de l’Église. Leur question : comment agissons-nous pour que les abus n’aient plus lieu, en réponse à la lettre du pape d’août 2018 ?

Etienne Pépin de RCF, était avec Guillaume Nicolas, directeur de la Délégation catholique pour la coopération (DCC) le 6 novembre 2019: écouter l’interview.

Présent à l’occasion de la session plénière des évêques de France, Guillaume Nicolas revient sur l’initiative “Promesse d’Eglise”.

 

Ce mouvement s’est réuni depuis l’été dernier, suite à la réception de la lettre du pape François au peuple de Dieu. Quelques organisations se sont retrouvées pour dire à quel point elles avaient été touchées par cette lettre. Ce sont des sujets graves qui nous touchent tous. Et cela fait écho à nos propres difficultés que l’on peut rencontrer dans nos gouvernances. On s’est rendu compte que ces problèmes nous les affrontions tous, mais chacun dans notre coin. Comme les évêques, qui ont dû parfois affronter ces questions un peu seuls. Nous gagnerions tous à travailler ensemble sur ces questions” explique Guillaume Nicolas.

“Promesse d’Eglise” est venu rendre compte à Lourdes, à l’occasion de l’assemblée plénière des évêques, de ses réflexions en la matière, afin d’aider l’institution ecclésiale à avancer, mais pas seule. “Nous venons dire quelles sont nos intentions, quelle est notre démarche, et surtout dire notre désir de travailler tous ensemble sur ces questions-là“.

Une manière de proposer un autre modèle à celui du cléricalisme. “Quand on a partagé sur nos pratiques, on a bien identifié le fait que nous étions tous exposés à certaines formes de cléricalisme. Lorsqu’un laïc a une responsabilité importante, il est en risque de cléricalisme. Ce cléricalisme peut être tant du côté des clercs que du côté des laïcs. Nous avons aussi identifié des pratiques très vertueuses.

En savoir plus avec Bruno Bouvet dans LA CROIX le 6 novembre 2019​

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L’Eglise : une Unité à retrouver ?

Jeudi 5 décembre 2019
à 20h15 à la Maison Paroissiale Protestante,
45 rue de Buffon, Rouen.

 

La Bible à Rouen vous invite à une Conférence-débat
 L’Eglise : une Unité à retrouver ?

 

avec le Père Luc Forestier, Prêtre de l’Oratoire,
Ingénieur et docteur en théologie,
directeur du Département de Théologie dogmatique et fondamentale; et directeur de l’Institut Supérieur d’Étude Œcuméniques (‘ISEO)
à la Faculté de Théologie et de Sciences Religieuses de l’Institut Catholique de Paris.

 

La conférence sera suivie d’échanges avec le public.
Venez nombreux, nous serons heureux de vous accueillir.
libre participation

 

La bible à Rouen 

  Institut Catholique de Paris / ISEO

 

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Dialogue entre catholiques et luthériens sur baptême et de la communion ecclésiale

 

du 17 au 24 juillet à Kligenthal, en France.

Le baptême et la communion ecclésiale au centre des travaux de la commission d’étude luthéro-catholique romaine sur l’unité.

Promue par la Fédération luthérienne mondiale et le Conseil pontifical pour la Promotion de l’Unité des chrétiens, cette 5e phase de dialogue s’est terminée après 9 ans de travail.

Baptême et communion ecclésiale
Selon un communiqué de la Fédération luthérienne mondiale, cette dernière rencontre s’est concentrée sur le sacrement du baptême, et plus précisément sur le type de « communion ecclésiale » pouvant exister entre catholiques et luthériens. Une question importante selon le pasteur luthérien Kaisamari Hintikka, au regard des engagements pris conjointement par catholiques et luthériens lors de la commémoration du 5e centenaire de la Réforme à Lund, en Suède (octobre 2016), à laquelle participa le Pape François. L’un de ces engagements avait trait à la « douleur » ressentie par les couples et familles mixtes ne pouvant communier à la même table eucharistique.

Cette question délicate s’est récemment retrouvée au premier plan avec la publication d’un document émanant de la conférence épiscopale allemande et se prononçant en faveur de l’accès à la communion pour les conjoints non-catholiques de couples mixtes. Ce texte, qui n’avait pas fait l’unanimité au sein des évêques, avait été soumis au Saint-Siège. Sollicité, le préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le cardinal Luis Ladaria Ferrer avait alors estimé que de document n’était « pas mûr », et qu’il devait être approfondi.

Des décennies de travail commun
Le rapport de la réunion de Kligenthal sera publié au cours des premiers mois de l’année 2020.
Cette commission luthéro-catholique, -actuellement présidée par l’évêque luthérien finlandais Eero Huovinen et l’évêque catholique britannique William Kenney-, a été instituée en 1967 et a produit, au cours des années suivantes, des documents notables, comme la «Déclaration conjointe sur la doctrine de la Justification par la foi», signée en 1999, ainsi que «Du conflit à la communion», publié en 2013, qui établissait la possibilité d’une commémoration commune du 5e centenaire de la Réforme luthérienne.

 

Article publié par Vatican News

 

 

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Visite de sa sainteté Tawadros II, Pape d’Alexandrie en France

Le dimanche 13 octobre 2019,

 

 

Sa Sainteté Tawadros II (Théodore) pape d’Alexandrie et patriarche de la prédication de saint Marc, de l’Église copte orthodoxe, a fait sa première visite en France.
Il a consacré l’autel de la Sainte Vierge Marie et de l’archange Raphaël dans l’ancienne chapelle catholique Marie Médiatrice de Draveil.
Ce lieu est devenu depuis 2017 le siège du Diocèse copte orthodoxe de Paris et du nord de la France dont l’évêque est Son Éminence Mgr Amba Marc.

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Célébration à Moscou de la réunification de l’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale avec l’Église orthodoxe russe

Remise de la lettre patriarcale et synodale de la réunification de l’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale avec l’Église orthodoxe russe.

L’archevêque Jean de Doubna a été élevé à la dignité de métropolite

Source orthodoxie.com

 

 

Aujourd’hui, dans la cathédrale du Christ-Sauveur à Moscou, s’est déroulée la divine liturgie présidée par le patriarche Cyrille avec 16 métropolites et évêques à laquelle ont participé Mgr Jean de Doubna ainsi que des clercs de la délégation de l’Archevêché.

Au cours de la liturgie, le patriarche Cyrille a remis la gramata (lettre patriarcale et synodale) de la réunification de l’Archevêché avec l’Église orthodoxe russe. De plus, l’archevêque Jean de Doubna a été élevé à la dignité de métropolite, selon les termes alors prononcés par le patriarche Cyrille : « Eu égard à la ferme position au nom de la vérité canonique et au travail pastoral ».

À la fin de la liturgie, après le discours du patriarche Cyrille, réponse de Mgr Jean (à découvrir en suivant le lien ci-dessous) :

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