News des Communautés et associations

Christianisme et culture sans Dieu

Site internet http://www.labiblearouen.org/

 

Lundi 18 janvier 2021 à 19h
La Bible à Rouen vous invite à une Conférence-débat sur Zoom :

 

Christianisme et culture sans Dieu

Pourquoi l’acte de lecture de la Bible est-il décisif aujourd’hui

 

 par le Pasteur François Clavairoly
Président de la Fédération protestante de France

 

François Clavairoly est Président de la Fédération protestante de France depuis 2013 et membre du Groupe des Dombes. 
Pasteur à Rouen de 1982 à 1988, il a présidé de 2002 à 2007 la communion protestante luthéro-réformée, et a joué un grand rôle dans la création de l’Église protestante unie de France. Depuis 2015, il assure la présidence de la Conférence des responsables de culte en France

 

 Pour que nous puissions vous envoyer le lien,
merci de vous inscrire par mail, avant le 15 janvier, à

 

 

Christianisme et culture sans Dieu Lire la suite »

Tous sont appelés…

Dieu ne choisit pas les gens parfaits et capables pour sa mission ! Il les rend capables en les appelant !
.
.Lorsqu’on lit vraiment la Bible, on se rend compte que les témoins de la foi ne sont pas des personnes parfaites, lisses, compétentes et sans défauts. Elles ont acceptés simplement de suivre Dieu tant bien que mal, de se laisser façonner par Lui et aussi pardonner pour leurs erreurs de parcours.
.
.Et si plutôt qu’écrire un livre de plus dans la Bible Dieu voulait t’utiliser ? Tu accepterais de répondre à son appel pour que le Royaume de Dieu, d’amour et de paix soit davantage répandu et connu dans notre monde ?
.
.Dieu t’appelle parce qu’Il est le premier à croire en toi. Ta vie à un potentiel…de malade !
.
#disciple #suismoi #Jesus #Dieu #appel #bible #vocation #lifestyle #chretienlifestyle #amour #puissance #faiblesse #motivation #motivational #conversion #chrétienlifestyle #discipleship #chrétien #love #church #confiance #parolededieu #dimanchedesvocations #religieux #religieuse #laic #prêtre #eglise #instapreach #viechretienne

@cheminneuf.france @missionjeunesbordeaux @missionjeunes_nancy @mission_jeunes @missionjeunesreims @mission_jeunes_paris @cheminneuf_worship @neufmediavideos @net_for_god @cheminneufleb.1830 @jesuslechemin

Tous sont appelés… Lire la suite »

En mémoire du Père André Fournier

 

 

 

Mon frère, le Père André Fournier est décédé le 8 février au domicile Rennais de ses amies Christine et Odile Abrioux-Bedouet, entouré de leur affection et de leurs soins des suites d’un cancer inguérissable, âgé de 73 ans.

André, après un CAP de fraiseur en 1965 et un CAP de dessinateur en constructions mécaniques en 1966 a travaillé comme agent technique jusqu’en 1976.
Servir était la devise des Routiers Scouts de France. C’est profondément marqué par ces valeurs du scoutisme que toute sa vie va être mise au service des autres dans ses diverses responsabilités et engagements, que ce soit dans le scoutisme ou l’animation liturgique, et qui se continuerons dans le monachisme ou dans le ministère sacerdotal.
Son parcours il en parle dans une interwiew à la Croix en 2007:
«Enfant, j’habitais Montmartre à Paris : sur un mont, déjà ! J’avais 5 ans quand je suis venu au Mont pour la première fois. Je me souviens de mon choc en voyant, du fond de la baie, cette pyramide posée sur le sable. J’y suis revenu à 26 ans en tant que responsable scout, et pendant trois ans j’ai séjourné régulièrement au sein de la petite communauté monastique de l’époque, dont le prieur était le Père. Bruno de Senneville, bénédictin du Bec Hellouin.
Lors d’une retraite, j’ai eu la certitude que Dieu me demandait de rester là et en 1976, j’entrais dans cette communauté. Cela fait donc trente et un ans que je vis sur le Mont. Il me fascine toujours autant, et j’éprouve un coup au cœur à chaque fois que j’y reviens après quelques semaines d’absence… Cela n’empêche, la vie y est difficile : le Mont est un lieu de combat spirituel, mais aussi physique et psychologique.”

 

 André entre-temps, est ordonné diacre dans l’abbatiale du Mont en 1983, puis prêtre dans la cathédrale de Coutances en 1984.
Pendant quatre ans, il se partage entre Pontorson (à 7 km) et le Mont, où il est moine hôtelier.

En 1989, ses frères et soeurs l’élisent prieur de la communauté. Mgr Fihey, l’évêque de Coutances d’alors, l’autorise à cesser ses deux mi-temps.

En 1995, André est nommé administrateur de la paroisse du Mont Saint-Michel avant de devenir, l’année suivante, recteur du sanctuaire – tout en demeurant prieur de la communauté de l’abbaye jusqu’en 2001 ou il favorise l’arrivée et l’accueil des Fraternités Monastiques de Jérusalem pour remplacer la trop petite communauté pour qui la tâche est devenue trop lourde.

Avec le Père François Lancelot, 87 ans, il s’installe alors dans le village, à la maison du Pelerin, à proximité de l’église paroissiale Saint-Pierre – qui est aussi l’église du sanctuaire du Mont depuis dix siècles et y fonde la librairie Siloe “pour qu’on puisse acheter une bible sur le Mont

Il est nommé directeur diocésain des pèlerinages en 2001.

En 2009, tout en restant recteur du Sanctuaire du Mont Saint-Michel, il deviendra curé de la paroisse Notre-Dame de la Paix de Pontorson, en charge de 16 clochers. Et en septembre 2018, il accepte d’être administrateur de la paroisse de Saint Michel de Ducey

André était membre de l’Association Chrétienne Oecuménique de Normandie et la présence de ministres de la Communion Anglicane et de l’ Eglise Evangélique Protestante témoigne de son attachement discret mais profond à la la promotion de l’unité des chrétiens.

 

(Eléments d’articles publiés avec l’aimable autorisation de la rédaction du journal La Croix)

 

En mémoire du Père André Fournier Lire la suite »

Office d’admission de Donna Derrick comme Raeder de l’Eglise Anglicane

Office d’admission de Donna Derrick comme Raeder de l’Eglise Anglicane

Notre amie Donna Derrick, administrateur de l’Association Chrétienne Oecuménique  de Normandie (ACONor), a été installée dans le ministère de Reader au service de l’Eglise Anglicane samedi 11 janvier à l’Eglise paroissiale de Hommeël à Gratot dans la Manche

Le ministère de “Raeder” dans l’Eglise d’Angleterre est un ministère laïque souvent traduit par “diacre” parce qu’il est un ministère de service de la Communauté, de proclamation des Ecritures, et de prédication.

Félicitation et merci à Donna pour cet engagement auprès de ses frères et soeurs de la Manche

Office d’admission de Donna Derrick comme Raeder de l’Eglise Anglicane Lire la suite »

Donna Derrick Reader de l’Eglise Anglicane

Office d’admission de Donna Derrick comme Raeder de l’Eglise Anglicane

Notre amie Donna Derrick, administrateur de l’Association Chrétienne Oecuménique  de Normandie (ACONor), sera installée dans le ministère de Reader (diacre) de l’Eglise Anglicane samedi 11 janvier.

Le Père M-Elie-Joseph Pottin et moi-même représenterons l’ACONor

Nous l’accompagnons de notre amitié et notre Prière

 

20200111 Donna Derrick licensing invitation

Donna Derrick Reader de l’Eglise Anglicane Lire la suite »

Au Chemin-Neuf, la responsabilité est partagée entre hommes et femmes

Série « Les femmes, l’avenir de Dieu ? » (14/15)

Enquête: Dans la communauté charismatique née à Lyon, le partage des missions est très égalitaire, entre prêtres, frère et sœurs consacrés et laïcs communautaires. Cela produit des relations plus simples et fraternelles. Et des prêtres moins cléricaux.
.

 

« Bon. Pendant que vous allez continuer à échanger avec ces dames durant le café, nous, les hommes, allons faire la vaisselle. »

Le père François Michon, 53 ans, part d’un grand éclat de rire. Pendant le déjeuner, les cinq femmes et quatre hommes de la coordination générale du Chemin-Neuf ont échangé sur la place des femmes au sein de la communauté charismatique née en 1973 à Lyon. Son supérieur (« berger ») n’est pas mécontent de montrer que les frères, prêtres et laïcs, prennent tout naturellement leur part de service…

Auparavant, durant la messe quotidienne à la maison d’accueil de Saint-Sulpice-de-Favières (Essonne), héritée des dominicaines de Béthanie en 2015, l’homélie avait été prononcée par une femme, luthérienne, Michaela Borrmann, 48 ans. Là encore, cela semble couler de source. « Ça arrive… Mais ce n’est pas une revendication, explique cette sœur consacrée, responsable de la communauté en Allemagne. Nous n’ignorons pas que dans l’Église catholique, la prédication est du ressort d’un prêtre. »

« Depuis notre fondation par cinq hommes et quatre femmes, la promotion de cesdernières est une évidence, raconte le père Laurent Fabre, 79 ans, berger durant quarante-quatre ans, jusqu’en 2016. C’est lié à l’influence de Mai 68, à notre inscription dans le renouveau charismatique et à notre caractère œcuménique : quel que soit son état de vie, chacun a voix au chapitre. »

L’ancien jésuite habite aujourd’hui à l’abbaye de Melleray à La Meilleraye-de-Bretagne, en Loire-Atlan­ti­que, où se trouve le noviciat international d’une communauté qui compte désormais 2 200 membres : 400 célibataires consacrés (180 hommes et 220 femmes) et 1 800 laïcs, dont un quart est en fraternité de vie.

 

Une collaboration qui est une grâce
Dans les constitutions, élaborées en 1982, la question de la place des femmes n’est pas spécifiquement abordée. Pas plus que celle des états de vie : « Couples, familles, célibataires consacrés, hommes et femmes ont choisi la vie communautaire à la suite du Christ pauvre et humble pour se mettre au service de l’Église et du monde », indique le document.

 

« Cette collaboration entre hommes et femmes, c’est une grâce. Nous n’avons pas la même manière de travailler, de parler aux frères et sœurs. Il y a beaucoup de sagesse là-dedans », commente Yvon-Amour Simbare, Burundais de 31 ans, frère consacré « en chemin vers la prêtrise » et responsable de l’abbaye de Melleray.

« Si la communauté n’était composée que d’hommes, il y aurait moins de communion 
entre nous… », reconnaît le père Michon. « Et si nous n’étions que des femmes, nous serions trop renfermées sur nous-mêmes ! », enchaîne Dagmara Klosse, 45 ans, sœur consacrée polonaise, responsable des célibataires consacrés. « Les personnes mariées ont une plus grande porosité au monde », complète Valentine Hodara, 61 ans, femme mariée, responsable du sud-est de la France.
« Dans les postes à responsabilités, nous nommons une” troïka” dans laquelle nous essayons de panacher les états de vie, détaille Dagmara Klosse,  La gouvernance partagée évite la toute-puissance. »

 

« Je suis cheffe de mon mari… »
Pas toujours facile à expliquer à l’extérieur. Kasia Lukomska est responsable de la communauté en Pologne. « À ce titre, je suis cheffe de mon mari. Et de prêtres polonais… C’est un des miracles de l’Église, s’amuse-t-elle. Quand je rencontre un évêque, j’y vais cependant avec un frère. Il tombe souvent des nues quand il découvre que la responsable est mère de deux enfants. Consacrée, ça passerait. Mais femme mariée… »
À Rome, lorsqu’il rencontrait les responsables du dicastère pour les religieux, le père François Michon avait tendance, par prudence, à ne leur parler que de la vie de l’Institut pour les prêtres dont il est le supérieur, comme le père Fabre avant lui : « Un jour, le cardinal Braz de Aviz m’a dit :”Mais vos prêtres vivent au sein d’une communauté, avec des laïcs et des sœurs consacrés. C’est ça qui est aussi intéressant pour l’Église !” »
Ce « partage harmonieux des responsabilités » est ce qui frappe l’évêque d’Oran, le dominicain Jean-Paul Vesco, qui a côtoyé la communauté lors d’un grand rassemblement de jeunes à l’abbaye de Hautecombe l’été dernier. « La mission commune, c’est l’essentiel. Tout sauf des femmes au service des prêtres. Résultat, ces derniers sont plus simples et fraternels, moins cléricaux. » Laurent Fabre raconte d’ailleurs volontiers que, faute de statut canonique, les deux premiers prêtres formés au sein de la communauté étaient prêts à renoncer au sacerdoce s’ils avaient dû quitter le Chemin-Neuf. « Heureusement, notre évêque d’alors, le cardinal Renard, a trouvé une solution »

 

Des sœurs reconnues et valorisées
« La plupart des lieux de formation sont sous la responsabilité d’une femme. Ce n’est pas écrit, on a pris les plus aptes », relève François Michon. Résultat, une partie de la formation des prêtres se fait sous la responsabilité de femmes, pas forcément de confession catholique. « Un frère qui ne peut pas obéir à une sœur n’a pas sa place au Chemin-Neuf, tranche-t-il. Ça fait partie du discernement. »

De leur côté, les sœurs consacrées se sentent reconnues et valorisées. « Notre féminité n’est ni occultée, ni idéalisée. C’est décisif, s’enthousiasme Blandine Lagrut, 36 ans, enseignante aux Facultés jésuites du Centre Sèvres, à Paris. Nous sommes encouragées à trouver un déploiement original qui stimule et renforce le ministère sacerdotal. »

« Quand j’étais au Centre Sèvres, certains me disaient : “Pourquoi tu te formes ? Tu ne vas pas être prêtre !” », s’amuse Dagmara Klosse. Moins rapidement happées par les tâches apostoliques, les sœurs vont d’ailleurs souvent plus loin dans les études, si bien que le père Michon doit se battre pour pousser les frères en avant. À front renversé. Il vient d’ailleurs de remporter une « grande victoire » : « Cette année, nous avons plus de doctorants que de doctorantes ! »

 

Le geste que j’attends
« Mettre en avant la fécondité des relations hommes-femmes » Catherine Denis, 49 ans, communautaire du Chemin-Neuf depuis 25 ans, engagée à vie avec son mari depuis 10 ans, six enfants. Médecin, elle effectue actuellement un doctorat de théologie morale à l’Institut catholique de Paris (ICP).
« J’attends de mon Église qu’elle soit créative, qu’elle se laisse vivifier par l’Esprit pour avoir des idées nouvelles pour les femmes. Je ne suis pas convaincue par l’idée de faire un copié-collé des hommes : des diacres, des prêtres… À mon sens, il faut mettre en avant la fécondité des relations entre hommes et femmes dans toutes les situations où ils coexistent, pas seulement dans le couple ou la famille. Cette fraternité vécue, c’est le trésor que nous avons reçu, au Chemin-Neuf, qui porte beaucoup de fruits. Dans un monde qui donne en exemple les femmes seules, après avoir magnifié les hommes seuls, l’Église a un message fort à faire passer dans ce sens.”

Un article de Vincent de Féligonde
dans La Croix qui n’est pas sorti en version papier à cause de la grève.

Au Chemin-Neuf, la responsabilité est partagée entre hommes et femmes Lire la suite »

L’Eglise : une Unité à retrouver ?

Jeudi 5 décembre 2019
à 20h15 à la Maison Paroissiale Protestante,
45 rue de Buffon, Rouen.

 

La Bible à Rouen vous invite à une Conférence-débat
 L’Eglise : une Unité à retrouver ?

 

avec le Père Luc Forestier, Prêtre de l’Oratoire,
Ingénieur et docteur en théologie,
directeur du Département de Théologie dogmatique et fondamentale; et directeur de l’Institut Supérieur d’Étude Œcuméniques (‘ISEO)
à la Faculté de Théologie et de Sciences Religieuses de l’Institut Catholique de Paris.

 

La conférence sera suivie d’échanges avec le public.
Venez nombreux, nous serons heureux de vous accueillir.
libre participation

 

La bible à Rouen 

  Institut Catholique de Paris / ISEO

 

L’Eglise : une Unité à retrouver ? Lire la suite »

Next Step, un pas de plus

 

« Welcome to Paradise », un des plus grands rassemblements de jeunes chrétiens en France, a réuni près de 2 000 jeunes de différentes nationalités du 4 au 11 août à l’Abbaye d’Hautecombe (en Savoie).

Comme chaque été depuis 1992, la Communauté du Chemin Neuf invite les 18-30 ans à vivre un temps fort spirituel. Cette année, les jeunes sont invités à réfléchir à leur « Next step » (prochain pas) pour avancer concrètement à la suite du Christ. Pour avancer pas à pas sur le chemin de la foi, chacun est invité à se demander : mon « Next step » sera-t-il de consommer bio, de m’engager dans ma paroisse, de prendre un temps de service pour les plus démunis… ?

Cet été le cardinal Tagle, archevêque de manille était invité.

 

 

 

Next Step, un pas de plus Lire la suite »